HJ : Je vais le rp' ici car il n'a pas de catégorie " Forêt " ici .



Pourquoi ne pas s'enfuir de Gotham quelques heures pour se vider la tête et se changer les idées ? C'est que Dent pensait à cet instand précis , quitter Gotham pour mieux respirer l'air non pollué et faire découvrir à Cold d'autre paysage beaucoup plus gaie que les buildings de Gotham city peu accueilliant . La jeune femme avait préparé le pique nique et une boîte de secours si elle venait de se blesser car en forêt on ne sait jamais . Stephanie poussait de toute ses forces la poussete de Cold qui était bien lourde avec tous se qu'elle avait mis au dessous . Jonathan pensait que c'été une bonne idée de faire découvrir le monde qui entourais Cold dans sa poussete qui était particulièrement sage et bouche bée face au silence des arbres . Stephanie montait sur une coline qui montrait toute la vue du paysage magnifique , elle sortie son appareil photo et prit des dizaines de photos pour immortalisé ce moment magique et unique avec son bébé .

Stephanie se retourna pour continuer la route mais la poussete avait disparue ! Où était passer Cold ? Il ne pouvait quand même pas se faire enlever par des personnes agés qui profitait de leurs retraites pour s'enfoncer dans la forêt dense . Elle descendit la coline à toute vitesse et crient le nom de son fils . Mais de loin , elle entendais des pleurs qui se calmait peu à peu , grâce aux sons de la voie de son fils elle parvenue à le retrouver mais la poussete était renversé et Cold se trouvait dans les bras ... d'un renard ! Stephanie resta bouche bée , un renard calmé un enfant ? C'été impossible peut être qu'elle était entrain d'halluciner ! La jeune maman se rapporcha de son fils et posa sa main sur la tête du renard comme le remercier . Elle le trouvait mignion comme tout , Cold s'amusait à serrer très fort contre lui le renard qui s'étouffer . Stephanie attrapa Cold et le serra contre elle de toute ses forces :

-Merci dit t'elle à l'animal mais elle n'était pas au bout de ses surprises ...



HJ : Désoler si c'est court mais j'espère que c'est correct !

[Ne t'en fait pas, c'est parfaitement correct ^^]

Nous étions au tout début du printemps, et dans la forêt que l'on pouvait trouvé tout près de la grande ville de Gotham City, la nature reprenait vie... déjà, les arbres faisaient naître leur nouvelle génération de petites feuilles verte, et de beaux bourgeons prenaient vis par-ci, par-là. Même pour la faune sauvage locale, le temps était à la fête... le retour de la chaleur signifiait plus de nourriture pour tout-le-monde, le temps du réveil pour les espèces qui hibernaient, et même, pour certains de ces animaux, le fameux temps de la reproduction. Déjà, les lapins batifolaient dans les hautes-herbes, à la recherche de leur âme-soeur, et les jeunes portaient de mulots sortaient du terrier de leurs parents pour à leur tour recommencer un nouveau cycle de la vie. L'un de ces rongeurs grignotait une noix, tranquillement installé au pied d'un vieux chêne... l'animal était jeune, il n'avait pas encore eu l'occasion de prendre conscience des dangers que couraient une petite bestiole comme-lui dans les bois. Dommage, car en faite, il n'aurait jamais le temps d'en prendre conscience...

Une forme orange sauta tout à coup hors des fourrés, tel un feu-follet vivant, et s’abattit sur le pauvre animal qui eut tout juste le temps de pousser un couinement en sentant des crocs se planter dans sa chair, avant que sa nuque ne soit brisée. Le prédateur qui venait de l'abattre, une jeune renarde, se redressa en tenant son trophée dans sa gueule, remuant la queue, toute joueuse. Roxane, car, vous l'avez deviné, c'était bien elle, était une renarde des villes, mais ce petit détail ne l'empêchait pas de venir parfois dans la forêt, surtout au début du printemps, où elle était toujours sûre de pouvoir y faire une bonne chasse... avant que les chiens-errants et les chats n'envahissent les lieux et chipent toutes les proies. C'était pour cela qu'elle venait tôt, cette année : pour être sûre de pouvoir avoir un petit quelque-chose. Et puis, la viande crue de mulot bien dodu, c'était délicieux, et ça changé des ordures habituelles qu'elle trouvait dans les poubelles.

La femelle leva haut le museau et avala tout rond sa proie en deux à-coups, aspirant la queue un peu à la manière d'un spaghetti, puis elle lâcha un petit rot, qui lui retira comme un poids qu'elle avait sur le ventre, et caressa doucement celui-ci... la renarde n'avait attrapée que deux mulots, depuis le début de la journée, mais elle était déjà rassasiée. Les renards étaient petits, et leur appétit était proportionnel à la taille de leur estomac. De plus, elle se souvenait encore d'une des leçons sur laquelle sa génitrice avait toujours beaucoup insisté : il ne faut jamais manger plus que le strict nécessaire, sinon, on devient gros, on devient gras, on devient lent, et on ne peut plus échapper aux prédateurs... alors Roxane décida que ce serait tout pour le moment. Elle allait se chercher un petit trou bien confortable où elle serait cachée et à l'abri, et faire la sieste pour bien digérer, en attendant le soir. Et là, elle repartirait chasser... parce qu'après-tout, d'ici deux jours, peut-être trois, la forêt serait pleine d'autres prédateurs plus gros qu'elle, alors autant qu'elle profite le plus possible maintenant avant de devoir retourner en ville pour sa survie...

La petite renarde décida d'aller un peu plus vers le centre de la forêt... pour cela, elle devait passer par l'un des sentiers utilisé parfois par les hommes. Caché dans les buissons devant le sentier, elle observa discrètement à droite, à gauche, si la voie était libre... et elle faillit se faire rouler dessus par quelque-chose qui dévala la pente, et qui la rata de peu. L'objet continua sa course et se renversa en entrant en contact avec une pierre, et lorsqu'il tomba, quelque-chose de gesticulant en sortit et elle entendit les couinements... d'un bébé humain. C'était une poussette qui était tombée... si il s'était s'agit de n'importe quel autre type d'humain, elle aurait sans doute passée son chemin... mais là, c'était un petit. Comme les femelles de bien des espèces, Roxane était habité par un instinct de préservation de sa propre espèce qui la poussait à vouloir protéger les enfants, et c'était un instinct plus communément appelé "l'instinct maternel". Il était présent en elle, même si elle n'avait toujours pas eue de petits à elle. Alors la renarde courut voir comment allait le nourrisson...

Le petit avait eu de la chance : il était tombé sur un tapis de mousse et ne s'était pas blessé... cependant, il pleurait, de peur et peut-être même de froid. Alors Roxane ne put s'empêcher d'aller le consoler... elle enroula son corps autour de lui un peu à la manière d'un serpent, se servant de sa douce fourrure rousse pour le réchauffer, et pour le rassurer, elle si mit à lui dire doucement, dans le langage humain :

-Allons, chut, mon petit... je suis là...

Le bébé arrêta de pleurer et l'observa... puis, d'un coup, il se mit à rire et entoura le cou de Roxane avec ses petits bras, la serrant contre-lui et l'étranglant un peu au passage. Il devait la prendre pour une peluche vivante... la renarde était prête à rester près de lui, mais elle espérait quand-même que quelqu'un finirait rapidement par le trouver... et apparemment, ses prières furent entendues.

Une femelle-humaine arriva rapidement sur les lieux. Roxane comprit vite que c'était-là la mère du petit... ils avaient les mêmes yeux. Elle sembla au début étonnée de ce qu'elle voyait... et le petit animal, de son côté, déroula sa queue d'autour du bébé et voulu s'enfuir, effrayée par la présence d'un humain adulte... cependant, son protéger ne voulait pas la lâcher, et même à cette âge, un humain, ça avait déjà une sacrée poigne. Inquiète, la renarde vit l'humaine s'approcher... mais elle ne lui fit pas de mal : elle ne fit que la remercier et de prendre son bébé contre-elle... et au passage, elle prit Roxane, qu'il n'avait pas lâché, et la femelle se retrouva suspendue en l'air par le cou, les quatre pattes et la queue pendant vers le sol. De toute évidence, l'humaine, trop heureuse de retrouver son petit, ne s'était pas rendue compte que son enfant faisait du mal à l'animal... ce que les humains pouvaient êtres aveugles, parfois ! Alors, songeant que c'était là un cas de force majeure, elle décida de rompre son silence et parla à la jeune femme blonde :

-Je t'en pris, mais par pitié, fait lâcher ton petit... il m'étrangle... !