Destin difficile ( PV Jonathan Crane

Lundi matin ,

Le soleil commença à se lever sur la ville de Gotham city , aujourd'hui la jeune Stephanie de 11 ans devait allée à l'école ! Aprés que sa mère l'ai secoué pour parvenir à la réveillé , Stephanie se leva enfin ! Elle avala rapidement ses céréales préférés aux chocolat et but un chocolat chaud puis elle fonça dans la salle de bain enfilait ses nouveaux vêtements que sa mère lui avait acheté se week hen , un pull rose avec par dessus une robe épaisse noir avec des collants blancs . La jeune fille quitta la salle de bain prit son cartable à roulètte et suiva sa mère dans le véhicule . Elle était en CM1 , Steph' n'a jamais était très forte en mathématique mais heureusement que c'est parents était derrière elle à l'encourager , c'été son avenir qu'elle méttait en jeux depuis qu'elle à 6 ans .

Arrivée à l'école , sa mère lui fait la bise et traversa la ville pour se rendre à son travail . Stephanie rejoignit sa meilleur amie où plutôt ex meilleure amie car la jeune fille avait oser vendredi de la barrer de sa liste de meilleurs amie car Stephanie n'aimait pas du tout la danse ! Elle l'avait remplacer par une certaine Annie , Stephanie se sentie délaisser et comme elle était réservé et timide , elle n'osa pas s'approcher des autres mais ... elle détester rester seule . La sonnerie retentit dans tout l'établissement , la classe se ranga en face de la salle de classe et attendit son professeur . Stephanie était tout au fond , elle fit semblant de rigoler avec ceux de devant et quand elle aperçut Jonathan , le premier de la classe détesté par tout le monde ! Elle se retrouvée désormais face à se jeune garçon , comme elle et il seul depuis le début de l'année . Il était le plus grand de la classe mais aussi le plus maigre , il ne mangeait jamais chez lui ? Il portait des lunettes carrés qui mettait à l'abris ces yeux qu'elle trouvait effrayant , des yeux d'un bleu très clair et dès qu'il posait son regards sur elle , Stephanie avait un sacrée mal de ventre ! Il avait aussi les cheveux noirs et un livre à la main . Stephanie n'avait pas le choix de se ranger avec la tête de truc de la classe , elle ne comprenait pas pourquoi la classe le détestait ! Il était juste le premier à levé le doigts pour donner la bonne réponse ! Le professeur arriva et il guida tout les élèves vers sa salle de classe . La salle était plutôt bien décorée ! Les tables était collée ensemble se qui formait des groupes de quatres , les murs étaient peint en beige et des posters était collés sur le mur . Stephanie s'installa à sa place habituel en face de son ex meilleur amie et deux autres amies . Son ex meilleur amis avait l'habitude d'embêter le jeune Jonathan en cours dès qu'il levait le doigts , elle ne pouvait pas s'empêcher de ricaner .

Pendant tout le cours , Stephanie resta silencieuse , elle observait son ex meilleur amie se tournait vers ses voisines sens se faire remarquer et se moquer du jeune Jonathan . A la récréation , Stephanie restait assise à contemplait ses ex amies pratiquer de la dansse ! Elle en avait marre ! Marre de s'ennuyer pendant les récréations ! Alors d'un pas décider , elle se leva et marcha dans la cours . Elle voulait allée voir se que fesait les garçons mais sa timidité l'en empêcha . Soudain , elle aperçut Jonathan , seul , assit sur un banc entrain de lire comme à son habitude . Stephanie se tortillia les doigts l'air mal à l'aise mais elle décida d'aller le rejoindre :

-Salut .... dit t'elle timidemant

Jonathan se retrouna et lui lança un regard pas très rassurant , Stephanie fronça les sourcils pendant un instand puis compris pourquoi il l'a regardait comme cela :

-Ne t'inquiète pas ... je vais pas me moquer de toi ! dit t'elle rassurante

La fillete s'installa à ses côtés et regarda les illustrations de son bouquin , il était tellement mystérieux ce petit garçon qu'elle avait envie d'apprendre à le connaître :

-Tu lis quoi ? questionna t'elle à Jonathan

Stephanie put profiter de l'avoir en face d'elle pour le regarder de plus prés , il avait des bleus de partout sur ses jambes , sa c'était à cause de Bo Griggs qui lui infliger de violent coup sur les jambes ! Stephanie se mit à sa place pendant quelques instand , elle avait presque pitier de lui ! Soudain , le roi de la bande arriva avec quelques copains et attaque verbalement Jonathan :

-Hey l'Epouvantail ! T'es encore le nez dans tes bouquins ?!

Ces potes rigolèrents puis il se reprocha d'eux et dit moqueur :

-Oh ! Je vois que ta trouvée une amoureuse ! Ha ha ha !

Stephanie sentit la colère montait en elle , pendant que Bo Griggs lui agrippa par le col et le frappa en l'envoyant par terre , Stephanie ne voulut pas juste être témoin de cet situation alors elle serra ses points et se leva et dit d'un ton ferme :

-Laisse le tranquille imbécille !

Bo n'eût pas eu le temps de répliquer qu'elle lui envoya un violent coup de pieds dans l'entrejambes , Bo partie en courants tout dire au Professeur entrain de boire son café dans la salle de professeur pendant ce temps , Stephanie aida Jonathan à se relevait et lui dit rassurante :

-Est ce que sa va ? Tu veux allé à l'infirmerie ? Bo est débile ! Il se croit intéligent alors qu'il est stupide !

Matinée pourrie, comme toujours, de toute façon. Jonathan avait répondu juste aux questions de géographies que leur professeur leur avait posé, et lorsqu'il leur rendit le devoir de mathématique qu'ils avaient eux la semaine passée, il avait eu la meilleure note, un vingt sur vingt, comme d'habitude... ses parents seraient content, et cela aurait dû suffire au bonheur du jeune Jonathan Crane... mais non, en réalité, voir la perfection de ses devoirs et de ses réponses le faisait plutôt déprimer. Tout ce qu'il réussissait à faire, c'était se mettre à dos tout ses camarades de classe qui le prenaient pour un rat de bibliothèque et un lèche-pompe des profs qui passer son temps à rapporter les fais et gestes des autres. Et pourtant, celui que l'on surnommait l’Épouvantail n'avait jamais cafardé personne sur quoi que ce soit, mais que voulez-vous, les premiers de la classe avaient toujours eux cette mauvaise réputation, il était normal qu'elle tourne au dessus de sa tête à lui aussi...

Il aurait pourtant été si simple pour le jeune garçon de se faire passer pour un enfant dit "normal"... il lui aurait suffis d'arrêter de lever le doigt, et de fausser un peu ses réponses lors des contrôles. Se contenter d'avoir des notes en dessous de quinze et au dessus de dix lui suffirait à avoir un bon avenir... mais c'était ses parents, qui le poussaient à aller toujours plus loin dans ce qu'il faisait. Il avait encore l'impression d'avoir la joue chaude à cause de la gifle qu'il avait reçu de son père deux mois plus tôt, parce qu'il était revenu avec un dix-sept en anglais... a moins que ce soit juste à cause du coup d'épaule qu'il s'y était prix pendant que les autres membres de sa classe le bousculaient dans les couloirs... et cette horrible phrase qui résonnaient toujours dans ses oreilles "Tu sais, c'est pour ton bien... tu sais, c'est pour ton bien... c'est pour ton bien... pour ton bien". Il entendait ça au moins dix fois par jours, c'était à devenir dingue ! En supposant qu'il ne l'était pas déjà...

Alors il continuait à jouer les intellectuels, et vu qu'il passait toujours tout son temps tout-seul, il avait fini par se réfugier dans les livres, une activité qu'il trouvait agréable et que ses parents appréciaient, aux-aussi, au moins. Mais il avait aussi trouvé une autre activité que personne ne connaissait... parfois, il parlait avec La Voie. Il avait nommé ainsi cette étrange petite voie sifflante qu'il entendait parfois dans sa tête. C'était une voie qui faisait peur, mais étrangement, qui le rassurait. Une voie qui se mettait toujours de son côté, et une voie qui lui voulait du bien... d'ailleurs, c'était grâce à elle qu'il arrivait encore à supporter sa vie. Des fois, elle riait avec lui en imaginant ce qu'ils pourraient faire aux élèves de sa classe, et d'autres fois... elle l'aidait à passer à l'action.

Il vit une ombre lui cacher le soleil, sur les pages de son livre... quelqu'un s'était arrêté devant-lui. Oh non, pas encore ! Jamais personne ne s'arrêtait devant-lui, sauf pour se moquer, pour le frapper, pour l'entraîner dans les toilettes et lui plonger la tête dans la cuvette, et il ne savait quoi d'autre encore... hélas, le pauvre Jonathan ne pouvait rien y faire. Alors il se contenta de soupirait et leva un regard sombre vers ses tortionnaires... il voulait au moins pouvoir les regarder en face. C'était une jolie jeune fille blonde, et elle était seule...

Stéphanie, c'était comme-ça qu'elle s'appelait. Et en voyant son regard, elle voulut le rassurer : elle n'était pas là pour se moquer de lui. Mais alors, elle lui voulait quoi ? Apparemment, elle voulait seulement discuter avec lui... elle s'assit d'ailleurs sur le banc et lui demanda ce qu'il lisait. Jonathan fut tellement pris au dépourvu qu'il fut sur le coup incapable de répondre, et il se contenta de lui montrer la couverture pour qu'elle puisse lire le titre : Psychologie des Peurs dans le Monde et Comment les Affronter, par Michel Bonzon. Le garçon observa la fille... s'il s'était attendu à ce qu'un jour quelqu'un vienne s'intéresser à lui, il aurait plutôt vu un autre premier de la classe, et non quelqu'un comme elle. Il se demanda si elle n'avait pas perdue un pari...

C'est ce moment-là que Bo Griggs choisit pour montrer le bout de son gros et repoussant nez. Jonathan avait l'habitude, il devait supporter ses moqueries et ses coups pendant toutes les récréations... mais cette fois-ci, pendant qu'il était à terre, en plus des rires, il entendit la voie de Stéphanie en train de prendre sa défense. Lorsqu'il releva la tête, Bo était en train de partir en courant. Elle l'aida à se relever, et enfin Jonathan réussit à lui parler, d'une voie un peu timide, mais reconnaissante :

Merci, je... euh, non merci, je ne veux pas aller à l'infirmerie.

Il essuya le coin de sa lèvre qui saignait et remit ses lunettes droites sur son nez :

je ne lui donnerais pas cette satisfaction. Il n'arrivera pas à me briser.

Il tourna la tête sous le regard de Stéphanie, un peu gêné, et observa son reflet dans une vitre. Son reflet parla, d'une voie sifflante "Mais ils t'ont déjà brisés"... c'était La Voie, mais pour la première fois de sa vie, il l'ignora. Il préféra regarder à nouveau dans la direction de la jeune fille... c'était la première-fois qu'on était gentil avec lui, comme-ça, alors il décida de lui révéler un petit secret :

Et puis, Bo joue les gros dures, mais un jour, je lui ferais payer tout-ça... tu savais que ce gars avait peur du noir ?

Il essayait de la regarder en face, mais à chaque-fois, il se sentait gêné et détournait les yeux. C'est alors que son regard bleu tomba sur un groupe de fille, au loin, des pipelettes qui riaient à une plaisanterie que l'une d'entre-elle venait de faire... cette fille-là, Jonathan la détestait particulièrement. Elle n'arrêtait pas de lui voler et de lui briser ses lunettes. Mais avec l'aide de la voie, il lui avait prévu une petit vengeance. Il réussi enfin à regarder Stéphanie en face et, avec un sourire quelque-peu cruel, il lui dit :

J'ai entendu dire tu étais en froid avec cette fille. Si tu veux rire un peu, je te conseil de faire très attention à ce qu'il va lui arriver quand on rentrera en classe... je lui ai préparé une petite blague bien sympathique et tout à fait innocente.

-Il à peur du noir ? dit Stephanie surprise avec le sourire

Une fois Jonathan relevé , Stephanie le regarda de la tête au pied , il était plutôt charmant ! La jeune fille fouillia dans sa poche et lui donna un mouchoir pour essuyer sa bouche en sang . Jonathan avait l'air d'être au courant qu'elle s'était disputer avec son ex meilleur amie qui n'était pas très loin entrain de plaisanter avec ses amies . Le jeune garçon lui fait pars qu'il lui avait préparer une blague en rentrant dans la classe , Stephanie souria elle voulait aussi de venger de l'avoir rejetée pour une autre fille qui était sois disant beaucoup mieux qu'elle ! Stephanie regarda l'horloge de l'école qui affichait : 10h15 puis se confia à sa nouvelle connaisance :

-Elle m'a rejeté car Annie était beaucoup mieux que moi ! Et elle m'a aussi abondonner car j'aime pas la dansse ! Mais ... sa à l'air bien ta blague ! En plus , je suis juste en face d'elle en classe !

Justement , la sonnerie retentie , les deux jeunes enfants se rangèrent ensemble sous les yeux de leurs camarades qui ricanait derrière leurs dos , elle ne se sentit pas mal à l'aise mais juste en colère , Steph' avait hâte de voir la blague qu'avait préparer Jonathan à son ex meilleur amie . De retour en classe , le professeur fit le point sur se qui s'est passée à la récréation , il se tourna vers Stephanie en premier :

-Stephanie , pour demain vous aurez 100 lignes car vous avez frapper violament Bo pendant la récréation !

Ces camarades furent étonnée par l'annonce du prof , tous la regardèrent , Stephanie tellement discrète et timide aurait frapper Bo ? Pour eux c'était impossible . A ce moment là , Bo était de retour à l'infirmerie en fesant semblant d'avoir vraiment très mal encore ! Stephanie leva un sourcil et regarda Bo entraint de s'assoir . La fillete détourna le regard vers son professeur et répliqua d'un calme inquiètent :

-J'ai défendue Jonathan ! Il l'a frappée violament ! Regardé sa lèvre !

-Tu as défendu l'Epouvantail ? lui murmura son ex meilleur amie en face d'elle

Stephanie la fusillia du regards et continua :

-Oui je l'es défendue ! Et alors ? Si tu es pas contente , tu as qu'a la fermé idiote !

-On se calme ! Bien , Bo et Stephanie vous serez tout les deux punits ! 100 lignes et vous écrirez : Je ne doit pas frapper mes camarades de classe ! Maintenant prenez votre livre de Français et ouvrait à la page 30 ! s'écria le professeur

Stephanie soupira , elle n'allait pas les faires ses 100 lignes ! C'était de la faute de Bo ! Pas elle ! Pendant que le prof fit son cours sur le COD et COI , sa voisine d'en face devena d'un seule coup blanche et se leva de sa chaise en criant , une araignié énorme était morte à la page donnée du professeur , elle crier , pleurer . Stephanie resta silencieuse et intéroga du regard Jonathan pour savoir si s'était lui qui avait tout manigancait ; Stephanie lui souria . Pendant ce temps que son ex meilleur amie était dans le couloirs entrain de sa calmer . Le professeur leurs donna les devoirs pour le lendemain et ils quittèrent ensemble l'école à pied .

Sur la route , Jonathan et Stephanie allèrent achetés des bonbons à la boulangerie la plus proche et se régalèrent sur un banc en face du parc . Stephanie appréciait déja le jeune garçon , mystérieux mais tellement adorable ! Stephanie finissa son bonbon et demanda au garçon :

-Tu pourrait venir chez moi ce soir ? Car , le prof à donné un excercice de math et j'ai rien compris ! Sa te dit ?

Suite à la réponse du jeune garçon , Stephanie guida Jonathan chez elle . Rentrée à la maison , Stephanie présentation Jonathan à sa mère :

-Maman ! Voici Jonathan !

Rachel Dawes souria à Jonathan l'air contente de le voir :

-Ravie de faire ta connaisance Jonathan !

Stephanie fit visiter sa chambre à Jonathan qui avait l'air très curieux puis elle plaça une seconde chaise à son bureau , elle ouvrit ses cahiers et s'installa sur la chaise :

-Pfff .... j'aime pas faire les devoirs ! Hey ! Sa te dit de fabriquer une cabane dans le jardin ? Sa sera notre quartier général top secret ! dit Stephanie avec un grand sourire

En effet, cette espèce de grosse brute avait peur du noir, comme le confirma Jonathan d'un signe de la tête... il n'avait bien-sûr pas suivit Bo Griggs pour apprendre ça, il ne l'avait pas espionné... en fait, il s'était contenté de l'observer. Chez certaines personnes, les signes de la phobie ne trompaient pas, par de simple petits gestes, des tics, toutes sortes de petites choses qui permettaient à un oeil expert de deviner qui avait tel ou tel peur... et le jeune Crane en connaissait un rayon, car il avait passé beaucoup de temps à étudier des livres sur les phobies et sur les peurs. Il avait tout-le-temps peur, lui... des raclés, de ses camarades, même des contrôles surprises... alors il s'intéressait particulièrement à ce sujet. On ne savait jamais, peut-être qu'en en sachant plus sur la peur, un jour, il serait capable de la contrôler... en tous les cas, c'était ce que prétendait La Voie.

Le professeur annonça à Stéphanie qu'elle était punie pour avoir osée frapper Bo... si ça avait était dans n'importe quelle autre situation, et pour n'importe qui d'autre, l'adolescent s'en serait moqué. Au contraire, cela lui aurait fait bien plaisir... sauf que là, c'était une fille qui acceptait de lui parler comme si il était un humain et qui se montrait gentille avec lui qui était punie, et par sa faute. Il se sentit un peu coupable, et se promit que dès qu'il en aurait l'occasion, il lui rendrait l'appareil, un jour, d'une façon ou d'une autre, même si cela devait prendre des années...

Au moins sa blague sembla lui redonner un peu le sourire malgré les cent lignes qu'elle avait à copier pour le lendemain : la blonde qui était juste en fasse d'elle fit un énorme bond et fondit en larmes en voyant l'énorme araignée qu'il avait pris soin de bien écraser dans son livre à la page du jour, juste avant de sortir dans la cour. Tout comme pour Bo, et également pour toutes les personnes qu'il détestait particulièrement dans cette école... disons pour presque tout-le-monde... il l'avait observé de très près, et avait finit par connaître sa plus grande peur... une peur bien banale, mais ma fois, temps que ça marcher. En plus, avec cette réaction particulièrement bruyante, elle allait, tout comme lui, devenir la risée de la classe pour un bout de temps. Stéphanie et Jonathan se regardèrent un long moment et pouffèrent ensemble en silence lorsque le jeune garçon lui fit signe que oui, c'était bien lui qui avait passé une semaine à la recherche de la plus grosse araignée qu'il ai pu trouver.

Les deux nouveaux amis... ça n'avait pas était officiellement annoncé, mais Jonathan le ressentait comme-ça : la jolie blonde venait de devenir sa première amie... quittèrent ensemble l'école et firent un petit tour à la boulangerie où ils s’achetèrent des bonbons et où ils discutèrent joyeusement de ce qu'il venait de se passer. Ça faisait bizarre au jeune Crane de ne pas rentrer directement chez-lui pour se plonger dans ses livres. Ses parents allaient surement s’inquiéter, peut-être qu'il devrait rentrer... mais la fille voulait qu'il vienne chez-elle pour qu'il l'aide dans ses devoirs. Si ce n'était que pour faire des devoirs, ses parents approuveraient surement...

Oui, si tu veux,

répondit-elle donc. Sa voie était encore un peu roc et timide, parce qu'en fait, il n'avait pas l'habitude de parler avec quelqu'un de son âge...

Et une fois chez la jeune fille où il rencontra la mère de celle-ci... une femme tout à fait charmante que Jonathan apprécia au premier coup-d'oeil, car elle semblait vachement moins strict que sa propre mère. Les deux adolescent se mirent ensuite au devoir de mathématique de Stéphanie. Pour Jonathan, ce n'était que de la routine, mais cela sembla très vite ennuyer la jeune fille qui lui proposa de sortir dans son jardin pour qu'ils se fabriquent une cabane, un lieux pour seulement tous les deux... cela fit au début froid au dos de Jonathan.

Fabriquer une cabane, c'était dangereux, on se servait de marteau et de clous, et en plus, ses parents ne voulaient pas qu'il s'amuse à des choses aussi inutiles temps qu'il n'avait pas fait ses devoirs... ses parents... en fait, il commençait à en avoir plus que marre de ses parents, de leurs recommandations et de leurs règlements à la noie ! Pour la première fois de toute sa vie, il avait une personne qui voulait bien jouer avec lui à des jeux des enfants de son âge, il n'allait pas tout gâcher en jouant les rabats-joie renfermés ! Il lui suffirait de leur mentir, de leur dire qu'il avait passé la soirée à l'aider pour ses devoirs.

D'accord,

dit-il alors en refermant le livre de son amie sur son bureau.

Ils sortirent ensemble dans le jardin et Jonathan s'occupa d'aller chercher les outils et les planches. En revanche, si il s'y connaissait en math, en chimie et compagnie, il était une vraie bille en bricolage... aussi se contenta-t-il de suivre les instructions que lui donnait Stéphanie à la lettre. Et pendant qu'ils étaient en train de discuter en travaillant, il se souvint de sa culpabilité vis à vis d'elle et lui dit alors :

Je viens seulement de me rendre compte que je ne t'ai même pas remercier pour m'avoir défendu. Alors... merci. Tu veux que je fasse ta punition à ta place ? Ça ne me dérange pas, tu sais...

Aprés avoir mit des feuillles sur le toit de la cabane en construction pour la protéger de la pluie , Jonathan s'excusa pour se qui s'est passée à la récréation et pour se pardonnez , il voulait faire sa punition de 100 lignes . Stephanie se tourna vers Jonathan , elle haucha les épaules et articula :

-Non , tu prend pas la tête ! Moi , je ne vais pas la faire ! Il n'avait pas cas d'embêter !

Stephanie s'approcha du premier de la classe et plaça sa main droite sur sa joue humide , elle le regarda avec ses grands yeux verts et rajouta :

-Jonathan ... tu es telllement mystérieux !

Aprés quelques heures de construction , Stephanie fit un bisou sur la joue de Jonathan qui lui rentra seul chez lui alors que la nuit commençait à tomber .Le lendemain , elle se fit gronder par son professeur qui doubla sa punition , Stephanie s'en fichait ! Elle s'avait qu'elle avait raison ! Bo n'avait pas cas embêter Jonathan ! Stephanie souria à Jonathan pour le rassurait car il culpabiliser à cause de cette punition , pendant la récréation , ils restèrents ensemble à jouer . Stephanie lui expliqua le jeu des billes sur les blaques d'égoûts mais Jonathan qui comprenait vite et qu'il était beaucoup plus logique que la fillete , gagnia à chaque fois toutes les parties ! Personne cette fois si , n'est venue embêter Jonathan , ils restèrents dans leurs bulles à eux .

Assise sur un banc , Stephanie dévora de curiositer le livre que Jonathan lisait et elle dit en s'exclament :

-Moi , qui croyait qu'il avait rien à dire sur la peur ! Je m'était trompée !

Pendant toutes la semaine , ils passèrents leurs journées ensemble , des liens très forts les unissaient désormais . Jonathan était un comfident , un meilleur ami qui la comprenait et qui savait l'aider , Stephanie l'apprécier beaucoup . Aujourd'hui , elle était chez lui , d'aprés sa chambre , son meilleur ami aimait beaucoup la chimie . 1 heure aprés avoir testé son matériel de chimie , installer sur le lit de Jonathan , elle dit calmemant :

-Jonathan ... tu es tellement gentil ! Je ne comprend pas les autres ! Tu es mon meilleur ami déja ! Je sais que je vais un peu vite mais ... on peut pas s'empêche de t'aimer ! dit t'elle sincérement

Plus les jours passaient, et plus Jonathan se santait proche de cette jolie jeune fille aux longs cheveux blonds... jamais il n'avait ressenti un tel sentiment. C'était donc ça, avoir un ami... au plutôt, dans cette situation, une amie ? Avoir toujours quelqu'un près de soit, toujours là pour vous prêter une oreille attentive lorsqu'on avait des soucis, autant chez soit qu'à l'école ? Avoir quelqu'un avec qui s'amuser et qui est toujours présent, même lorsqu'il n'est pas là, en pensé, pour que vous ne vous sentiez plus seul ? A toujours avoir quelqu'un près à se battre à vos côtés, à vous défendre, peu importe ce que vous avez fait ? Le jeune Crane se demandait si on ressentait toujours une chaleur au niveau des joues lorsqu'un ami vous faisait un bisou, comme ça avait été pour lui le cas le premier soir où ils s'étaient séparés et qu'il était rentré chez-lui, ou si ça ne le faisait pas ça uniquement chez-lui, parce qu'il n'avait pas l'habitude de ce genre de situation... a moins qu'il ne ressente pour Stéphanie Dent un peu plus que de l'amitié ?

Stéphanie était quelqu'un d'absolument incroyable ! Malgré le fait qu'il soit la tête de turc de l'école et que les autres enfants se moquaient d'elle derrière son dos pour le simple fait qu'elle traînait avec lui, elle ne l'abandonnait jamais, elle ne lui en voulait même pas, ne le tenait pas responsable des moqueries et des punitions que lui avait donné son professeur. Chacun avait appris à apporter un petit quelque-chose à l'autre... la jeune fille lui apprenait des jeux, l'aidait à se sentir bien, à se sentir pour un enfant de son âge... chose qu'il n'avait jamais pu faire, la solitude l'avait rendue très mature et mystérieux, comme elle le disait si bien... et plus il passait de temps avec elle, plus il s'ouvrait, moins il se sentait timide. Quand à lui, lorsqu'elle en avait besoin, il l'aidait toujours pour ses cours. Les parents Crane n'auraient peut-être pas étés d'accord qu'il passe son temps à traîner avec une fille comme elle... c'est à dire qui n'avait pas plus de 18 de moyenne général... mais il disait qu'il l'aidait pour les mathématiques, la chimie et l'anglais, cela semblait leur convenir. Il alla même jusqu'à leur dire qu'il lui donnait des cours sur des matières qu'ils n'avaient pas dans leur classe pour le simple plaisir de pouvoir passer plus de temps avec elle.

Lorsque Stéphanie lui dit qu'il était son meilleur ami, qu'on ne pouvait pas s'empêcher de l'aimer, alors qu'ils travaillaient sur un cour de chimie chez-lui, Jonathan sentit ses joues s'empourprer... il détourna un peu la tête pour cacher qu'il rougissait, mais il n'était pas certain de l'avoir fait à temps, il craignait qu'elle l'ait déjà remarquée...

Je... merci,

ommença-t-il à répondre.

Toi aussi, tu... tu es ma meilleure amie. Tu es quelqu'un d'absolument extraordinaire. Je n'ai jamais dis-ça à personne, mais je t'apprécie beaucoup... en fait c'est la première-fois que je ressens ça pour quelqu'un...

Jonathan osait de plus en plus parler avec elle avec le temps qui passait. Il aimait Stéphanie, il lui faisait confiance... alors il décida de partager quelque-chose avec elle, un projet sur lequel il travaillait depuis des mois, guidé par La Voie. Il pensait que s'il le partagé avec son amie, il se sentirait bien mieux.

Je vais te montrer quelque-chose, mais attention : c'est super-secret. Je risque d'avoir des ennuis si jamais ça s'ébruite, même mes parents ne son pas au courant... alors surtout, ne le répète à personne.

Il se leva de sur le lit et alla vers sa bibliothèque, couverte de gros volumes qui traitaient les sciences du monde entier. Il vida l'étagère et retira de sur le mur un brique qui n'était pas attachée, révélant une petite cavité d'où il sortit un gros flacon remplit à moitié d'une poudre jaune et brillante. Il retourna près de Stéphanie et le lui montra...

Surtout ne respire pas cette poudre,

lui conseilla-t-il.

Comme tu l'as remarquée, je passe beaucoup de temps à lire des livres sur la psychologie et sur la peur... et bien ça m'a aidé, en plus de la chimie, à créer ce-ci. J'ai mélangé différents produits hallucinogène pour créer cette poudre : elle déclenche des hallucination à celui qui la respire pour lui faire vivre ses pires peurs. L'effet ne dure que quelques minutes, mais il est immédiat.

La petite fille contempla la précieuse poudre avec facination ! Son meilleur ami était vraiment très intéligent ! Stephanie regarda encore le falcon et dit au garçon :

-Whaou ! Tu devrais le tester sur Bo Griggs ! Ne t'inquiète pas , je ne le dirait à personne ! s'écria t'elle avec un grand sourire

Ils passèrents la soirée ensemble et Stephanie eu l'autorisation de rester dormir chez son meilleur ami , elle avait fait connaisance avec ses parents qui avaient l'air très méchants , strictes envers Jonathan . A la fin du repas , Stephanie déplia le siège pour le transformer en lit , aprés c'étre allonger , elle chipa un dès livre de la bibliothèque de Jonathan et commença à le lire :

-Je comprend rien au science ! dit t'elle agaser

1 heure plus tard , la jeune fille n'arrivait toujours pas à trouver le sommeil , la lumière était éteinte pour ne pas gêner Jonathan qui lui dormait profondèment alors sens faire aucun son , aucun bruit , elle se leva et souleva les couvertures du lit de Jonathan et se blotissa contre lui et s'endorma ... Le lendemain matin , Stephanie se révéllia seule dans le lit , aujourd'hui c'été samedie elle allait profiter de son meilleur ami . La porte était ouverte et le jour traversait toute la pièce , la mère de Crane les avait réveillé et à était choquer de les voirs collé l'un à l'autre ! Elle demanda une centaine de fois à son fils , si tout les deux étaient en couple ... Elle les attendaient discuté de cette découverte depuis l'étage . Stephanie culpabiliser , elle avait honte de sentir le regards froid de sa mère posait sur elle . Stephanie se leva et fila s'habiller dans la salle de bain qui se tenait juste à côté de la chambre . Elle descendit au premier étage , la tête haute mais elle cacher bien son angoisse et son stress , elle fit un baiser sur la joue de son meilleur ami et s'installa à côter de lui pour dévorée son petit déjeuner .

Dans l'aprés midi , les deux meilleurs amis jouait désormais dans un champs , ils avaient choper leurs vêlo et avait pédaler loin , très loin pour que personne ne les déranges , ils avaient embarqué avec eux , un petit pique nique . Arrivée làs bas , ils jetèrents les vêlos dans la flore et s'enfondèrent dans le champ . Ils plaisantèrent ensemble , rigoler mais au moment de manger , la petite fille ne put s'empêcher de l'intéroger sur ses amours :

-Tu déja eu une amoureuse ?

Cette question lui avait surement traverser l'esprit car en face d'eux , il y avait une maison et sur le balcon de celle-ci un couple à peine mariée s'embrasser langouresement , Stephanie se tourna vers son voisin et dit en murmurent :

-Viens en essaye de s'embrasser comme au cinéma !

Stephanie se pencha vers Jonathan mit sa main sur sa nuque et s'approcha de ses lévres ...

Sa mère lui piqua une sacrée crise lorsque le matin où Stéphanie eue le droit de dormir chez-lui... ses parents n'avaient pas osés lui dire non, c'était la première-fois que leur fils avait un ami à inviter à passer la nuit à la maison... elle retrouva les deux enfants endormis dans le même lit. D'ailleurs, elle n'était pas la seule à être étonnée, car Jonathan n'avait même pas sentit sa jeune amie se lever et se glisser sous ses couvertures, et il en était resté étonné et tout rouge, même durant tout le temps où madame Crane lui passa un savon. En fait, se réveiller en sentant la jeune fille contre-lui ne lui avait pas déplus, et il ne lui en voulait pas, même pas du fait qu'il s'était fait grondé. La seule chose qu'il regrettait, c'était que maintenant, elle était dans le collimateur de ses parents, qui auraient plus de mal à le laisser la fréquenter, même pas pour l'aider dans ses cours... mais pour la première fois de sa vie, le jeune fils Crane était on ne peut plus décidé à ne pas écouter ce qu'ils lui diraient.

Jonathan aimait Stéphanie, bien plus qu'il ne les aimait à eux, et personne, même pas eux, ne pourrait l'empêcher de la voir. Le jeune garçon s'en fichait, si il les fâchait, il s'en fichait si il se faisait punir ou tout ce qu'ils voulaient d'autre... jamais ils ne pourraient les séparer, et durant un moment, en voyant le regard que ses parents jetèrent à son amie pendant le petit-déjeuné, il fut tenté de monter chercher la poudre jaune qu'il cachait dans sa chambre. Le jeune garçon fut particulièrement rassuré lorsque les deux amis s'évadèrent l'après-midi pour aller passer un moment tous les deux loin des parents, des autres enfants et même de la ville, dans la campagne, au milieu d'un champ où ils étaient persuadés de ne rencontrer personne. Ils pique-niquèrent en discutant et en plaisantant de sujet des adolescent normaux, Jonathan réussissant tant bien que mal à ne pas parler des cours et de la science, et c'est ainsi que la conversation tourna sur l'amour...

Stéphanie voulait savoir si il avait déjà eu une petite amie... et cela fit à nouveau monter le feu aux joues à Jonathan. A croire qu'avec elle, il passait son temps à se transformer en tomate ! Mais surtout il ne put s'empêcher de baisser timidement le regard. Cependant, il répondit malgré-tout, en tout sincérité :

Et bien... non. Tu sais, tu es ma première véritable amie, alors tu comprends, une amoureuse... je ne crois pas qu'une seule fille au monde puisse s'intéresser à un rat de bibliothèque comme moi.

Et bien oui, que voulez-vous... quand on se faisait traiter de quelque-chose depuis presque sa naissance, on finissait par croire qu'on l'était vraiment. En fait, Jonathan ressentait des choses pour la jolie blonde, mais jamais il n'aurait pensait que cela était réciproque... jusqu'à ce qu'elle lui demande de l'embrasser, pour essayer, comme au cinéma... alors là le jeune garçon resta muet de stupéfaction. Elle le voulait vraiment ou c'était pour se moquer de lui ? Non, se moquer de lui aussi méchamment, ce n'était pas le genre de Stéphanie...

Elle posa la main derrière sa nuque et approcha doucement ses lèvres des siennes... le jeune Crane hésita un peu, puis finalement, il dut se rendre à l'évidence : il avait envi de faire la tentative, d'avoir son premier baiser avec elle. Il jeta juste un coup d'oeil vers le couple plus loin, pour voir comment ils faisaient, et posa ses lèvres sur celles de Stéphanie. Ça ressemblait plus à un bisous qu'à un vrai baiser, car en réalité, Jonathan ne savait pas du tout comment ce genre de choses marchaient, mais cela n'enleva rien au moment qu'il partagea avec elle...

Oh, c'est trop mignon !

Jonathan se sépara vivement de son amie lorsqu'il reconnut cette voie ironique et se releva brusquement, alors que Bo Griggs sortait de derrière un champ de maïs. Soit cette rencontre n'était dû qu'à un malheureux hasard... soit cette andouille les avait suivit. Il s'approcha des deux amis en ricanant dédaigneusement, et en les toisant de son regard méchant...

Je trouve que l'endroit te convient très bien, l’Épouvantail,

dit-il, avant de se tourner vers Stéphanie :

quand à toi, je n'ai pas encore eu l'occasion de te remercier pour l'autre-jour, la copine des rats.

Bo envoya ses gros bras en avant et bouscula violemment la jeune fille... alors, voyant son amie en danger, Jonathan prit son courage à deux mains et voulut le bousculer aussi... enfin, disons plutôt qu'il enfonça ses mains dans le gras de son ventre... en criant :

Laisse-la tranquille !

Mais la brute, loin d'être effrayé, le frappa violemment au visage en répliquant :

Depuis quand ça parle, les épouvantails ?!

Normalement, quand il était frappé, Jonathan tombait et faisait exprès de ne pas se relever, pour ne pas encourager ses ennemis à le cogner à nouveau. Mais ce coup-ci, il ne tomba pas... il mit son pied en arrière pour garder son équilibre, jeta à Bo un regard de pure haine, plongea sa main dans sa poche et en retira un petit flacon remplit de poudre jaune. Il ne savait pas comment cette petite partie de son produit avait pu se retrouver là, mais, poussé par un instinct qu'il avait souvent ressenti, mais qu'il n'avait jamais suivit, il décida de s'en servir...

J'ai dit : laisse-la tranquille !

Hurla-t-il en giflant violemment son adversaire...

Le fiole se brisa sur la joue de Bo qui sentit alors la poudre qui s'en échapper... et là, il tomba à terre, en se roulant dans l'herbe et en pleurnichant :

Au secours ! Qu'est-ce que tu m'as fait ?! Il fait noir... !

Stephanie voulut tent continuer déguster les lèvres de Jonathan mais quand Bo Griggs surgissa au milieu de nulle pars en stoppent brutalement leurs baiser . Le jeune homme poussa violament la jeune fille qui s'écroula sur un sol de pierre tranchante et ne put retenir un crie de douleur . Pendant qu'elle grimaça de douleur , Jonathan la défendais pour de bon cette fois ! Bo s'écroula au sol en ayant peur , il lui avait fait sentir sa poudre jaune .

Stephanie se releva avec une main sur le coude pour stopper l'hémoragie et embrassa Jonathan sur la joue puis la bouche pour le remercier . Pour se venger une dernière fois , Stephanie donna un violent coup de pied à son agresseur et fila avec Jonathan en vêlo . Pendant la route , Stephanie rigola , Bo n'allait plus jamais les embêters ! Arrivée chez les Crane , Stephanie déposa son vêlo près du garage . La mère de Jonathan se tenait sur le seuil de la porte d'entrée avec une assiete dans les mains et un torchon pour l'essuiyer . Elle jeta un regard froid à la petite fille et à son fils puis elle prit la parole d'une voix à glaçer le sang :

-Vous ... avez fait des bêtises ?

Stephanie regarda Jonathan en fronçant les sourcils et répondit :

-Quel bêtises ?

Madame Crane toujours aussi froide soupira :

-Eh bien ... les vêtements déchirées que tu porte Stephanie et toi aussi Jonathan , eh bien ... je contaste que vous ête tout les deux fous ! Vous avez fait l'amour à votre age !

-*N'importe quoi ! * pensa Stephanie

Les vêtements sale et déchirée était la conséquence de la bagarre avec Bo , la mère de Jonathan était vraiment paranoiak ! Stephanie haucha les épaules , épuisée , elle répondit sincèrement :

-Nous nous sommes juste embrassée !

-Pardon? Coupa sa mère , Embrassée une fille sens aucune personnalité et aucun avenir professionel et une honte ! Fille du procureur en plus ! Mon fils mérite mieux que vous ! Une femme riche , intéligente et PDG d'une grande socièté ! Mais ... il est encore trop jeune !

Stephanie se sentie humilié , une larme coula sur sa joue , elle avait marre au coeur alors sens aucun regards et un au revoir , elle prit son vêlo et s'enfuia vers la cabane qu'elle avait construite avec Jonathan , leurs repaires , leurs maison , elle jeta contre le mur son vêlo et entra dans la cabanne . Assise pas terre elle joignit ses jambes et commenca à pleurer ...

Stéphanie saignait du coude... le jeune garçon innocent, pas encore totalement perverti par l'esprit de l’Épouvantail, qu'était Jonathan Crane à cette époque, aurait put se sentir coupable d'avoir fait avaler de force une drogue à un autre jeune de son âge, même si c'était son pire ennemi, cependant voir qu'il avait blessé la fille qu'il aimait le fit plutôt rire devant son corps tremblant de peur et de douleur sous le coup de la jeune Miss Dent, un rire noir, cruel, sans vraiment de joie. Ils en plaisantèrent tous les deux tendis qu'ils revenaient chez lui à vélo... Jonathan aimait de plus en plus l'adolescente au fil du temps qui passé. Il avait l'impression qu'ils étaient sur la même longueur d'onde, qu'ils étaient pareils, tous les deux, qu'ils se complétaient, comme le soleil et la lune... hélas, tout cela était sans compter sur l'éducation de fer de ses parents.

La jolie blonde en dit malheureusement trop quand la mère Crane commença à leur poser des questions gênantes sur ce qu'ils avaient fait pendant leur absence... encore, l'adolescent aurait pu s'en sortir par lui-même, en lui disant une partie de la vérité, comme quoi ils s'étaient fais attaqués par des brutes... elle ne lui aurait pas posée plus de question, même si elle serait restée un peu sceptique, puisque Jonathan revenait trois fois pas semaines à la maison avec le nez en sang et les habits déchirés à cause des autres enfants de son âge qui le frappaient... et il lui aurait caché le reste, mais Stéphanie commit l'erreur de lui annoncer qu'ils n'avaient échanger qu'un innocent petit baisé. Hélas, pour sa mère, un baisé n'avait rien d'innocent, surtout si il s'agissait de son fils et d'une fille aussi simple que le jeune blonde...

Stéphanie fut choquée par les termes qu'elle osa employer sur elle et partie de la maison des Crane, en laissant coulé une larme. Jonathan avait toujours supportait ce que lui disaient et lui faisaient subir ses parents sans broncher... mais là, voir le mal qu'elle venait de faire à son amie fut la goûte-d'eau qui fit déborder la vase !

Tu n'as pas le droit de... !

Mais il n'eut pas le temps de finir sa phrase que sa mère l'attrapait déjà par l'oreille et le tirait de force dans la maison.

Elle l’emmena dans la cuisine où son père était en train de lire son journal et raconta tout à celui-ci. Jonathan récolta une baffe, et eut droit au sermon de son paternel qui était à quelques mots prêt le même que celui de sa mère. Des larmes se mirent à couler sur les joues de l'enfant, ses épaules tremblaient... il avait envi de frapper, de griffer, de mordre, de déchirer, comme si une bête féroce en lui se battait pour sortir de son ventre. Il répliqua à ce discours ridicule qu'il l'aimait, et il s'en prit une autre, alors que son père finissait en lui disant :

Nous sommes tes parents, et tu feras ce qu'on te dira ! Tu sais, c'est pour ton bien...

Jonathan attrapa le tas d'assiettes propres qui séchaient l'évier et, sur le coup de la colère d'avoir encore à supporter cette maudite phrase, jeta tout par-terre, fracassant la vaisselle en porcelaine en train de sécher sur le carrelage blanc et propre de la cuisine. Ces parents furent choqués par sa réaction, mais pas autant que par le regard noir qu'il leur jeta, un regard emplit de toute la haine qu'un enfant pouvait avoir pour ses parents...

Un jour,

leur dit-il, d'une voie sifflante, telle celle d'un serpent, une voie qui ne ressemblait plus à celle de leur fils...

un jour, je vous tuerais tout les deux...

Et il profita du temps qu'il fallut à ses parents pour se remettre du choc d'une telle annonce pour sortir en courant de la maison. Il savait que lorsqu'il rentrerait, le soir, il devrait payer les pots cassés, mais là, pour le moment, il s'en fichait... il voulait retrouver Stéphanie, il voulait lui parler, ou juste ne serai-ce que la voir. Il courait dans la rue vers chez-elle, passa devant une bijouterie et vit à l'intérieur de la vitrine un petit objet qui le fit s'arrêter... il entra à l'intérieur...

Une demi-heure plus tard, il sonnait chez les Dent... la gentille mère de Stéphanie l'invita à entrer et l'autorisa à aller dans son jardin voir si sa fille n'y était pas, car elle ne l'avait pas vue rentrer. Mais Jonathan était presque certain qu'elle avait due se réfugier dans la cabane, c'était ce qu'ils faisaient toujours quand ils voulaient êtres seuls... il s'y faufila et trouva bel et bien son amie assise contre le mur, en train de pleurer. Il s'avança vers elle à quatre patte et s'assit en face, puis il lui prit les mains dans les siennes et lui dit :

Stéph', je suis vraiment désolée... mes parents son des andouilles. Mais crois-moi, ils ont tords... tu n'es pas une fille sans personnalité, tu n'es pas une honte... tu es la meilleure chose qui me soit arrivé dans ma vie. Sans toi, je crois que je finirais à l'asile. Tu es quelqu'un de fantastique, Stéphanie, et je suis sûr que tu es destinée à faire de grandes choses.

Il fouilla dans sa poche et en sortit une petite boite en velours rouge qu'il ouvrit devant-elle... elle contenait un pendentif en forme de coeur, coupé au milieu avec un côté noir, et un côté rouge. Étrangement, il était attaché à deux chaînes dorées sur chaque moitié au lieu d'une seule au milieu. Il le sortie de la boite et le déclipsa, séparent les moitiés de chaque couleur, puis souleva les cheveux de Stéphanie pour lui attacher la partie rouge autour du cou.

C'est pour toi,

lui dit-il.

Comme ça, peu importe que nous soyons séparé, ou même que nous ne nous revoyons pas avant plusieurs années, si cela doit arriver, ces colliers nous permettrons toujours de nous reconnaître. Je t'aime, Stéphanie... désormais, tu es une reine. Tu seras ma Reine Rouge...

Seule dans la cabane , son meilleur ami ou plûtot potenciel petit ami ne tarda pas à venir la consoler , le jeune homme à su trouver les bons mots pour la réconforter ! Un sourire s'afficha sur ses lèvres , lui seul arrivait à la faire rire malgré que ses blagues étaient parfois ridicule . Jonathan lui ouvrit un collier couper en deux et lui donna celui en rouge et qu'elle l'appartenait qu'elle était sa reine , reine rouge . Il lui avait déclarer sa flamme , Stephanie mit sa main gauche gêler sur la joue du petit garçon et articula en le regardant droit dans les yeux :

-Jonathan ... tu ... tu ... m'aime ?

Pour la première fois de sa vie , Stephanie rougissa comme une véritable tomate et toucher par les mots de son ami elle pleurait encore plus de tristesse mais de joie ! C'était la toute première fois qu'un garçon était tomber sous son charme , les autres garçons de la classe la trouvait jolie mais trop timide et réservé , sa meilleur amie qui avait du succée avec les garçons se moquer de Stephanie car elle n'avait jamais eu de relation avec un garçon de la classe . Cette fois , elle en était sur Jonathan était son tout premier amour , peut être le dernier ? Stephanie embrassa Jonathan une troisième fois sur les lèvres pour le remercier de son cadeau qu'elle ne quittera jamais ! Même sous la douche en sport ! Il restera en permanence près d'elle !

-Merci Jonathan ! Tu sais ... oh comment te dire ... tu es mon premier amour tu sais ! Les autres gars de la classe me trouvait pas intéréssente et trop faible ! Je suis juste timide ! Ce collier ... il est magnifique ! Tu es tellement ... j'ai l'impréssion que tu es mon ange gardien !

Stephanie écarta ses bras pour le serrer contre elle , son coeur battait à toute à l'ure ! Sa mère Rachel annonca par la fenêtre que le diner était près à être dévorer , alors Stephanie proposa à Jonathan de rester chez elle manger et pourquoi pas dormir aussi ? Elle lui fera visiter sa chambre ! Les deux amoureux quittèrent la cabane à quatre pattes et marchèrent vers la salle à manger . Les parents de Stephanie semblait être très intéréssés par son meilleur ami ! Son père se leva même de table en offrant à Jonathan un livre sur les émotions humaines , Stephanie avait oublier les propos de la mère de Jonathan qui fesait partie de la famille Dent désormais . Aprés avoir finit d'avoir manger la salade sa mère dit en plaisantent :

-Tu ferait un très bon mari pour Stephanie !

Le repas se finissa dans la bonne humeur et la jeune fille eu le plaisir de montrer sa chambre à Jonathan , une pièce toute en rose pâle avec le lit non fait au milieu de la pièce , un vrai bric à brac sa chambre ! Pendant que Jonathan alla prendre sa douche pour rester dormir chez les Dent dont il avait eu l'autorisation des parents de Stephanie de rester dormir à la maison , Stephanie dépliyia le clic clac pour 2 personnes et s'y coucha en serrant les couvertures contre elles comme si c'était le lit de Jonathan ! Quand il arriva , Stephanie enroula ses bras autour de ses épaules et ils basculèrents ensemble dans le lit , elle en profita pour le chatouiller :

-Oh ... pourquoi tu craint pas ? dit t'elle

Stephanie supplia Jonathan pour ne pas qu'il l'a chatouille à son tour et cette soirée se termina par une bataille d'oreiller avec la bonne humeur et les rires , Jonathan et Stephanie étaient totalement dans leurs bulles ! Epuisée , Stephanie s'endorma dans les bras du jeune Jonathan comme un vraie petit couple de cinéma ...

Le lendemain , c'été l'anniversaire de Jonathan et Stephanie s'était levé plus tôt pour lui préparer un petit déjeuner au lit , sur le plateau elle mit deux jus de fruits , quatres tartines de nutella et monta à l'étage et quand il ouvrit les yeux , il n'eu pas le temps de sétiré que Stephanie sauta sur le lit en lui souhaitant un joyeux anniversaire !

-Joyeux Anniversaire Jonathan ! Je t'aime !

HJ : Ils sont trop mignion Jonathan et Stephanie !

[Oh oui, trop adorables =^^=]

Avec tout ce qu'il s'était passé la veille, entre les problème qu'il avait eu avec la brute et sa dispute avec ses parents, puis ses retrouvailles avec sa désormais... tout du moins, c'était ce qu'il espérait... petite amie et l'agréable soirée qu'il avait passé avec elle et ses parents qu'il aimait de plus en plus à chaque instant qui passait, Jonathan avait complètement oublié son anniversaire... de toute façon, pour lui, les journées de ses anniversaires n'avaient jamais été mieux que des jours normaux. Si par malheur, dans la classe, les autres l'apprenaient, il était bon pour se recevoir des coups dans l'épaule à longueur de journée, et en ce qu'il concernait une fête chez-lui, il avait seulement droit à un gâteau au citron le soir et un nouveau livre qu'il n'avait pas dans sa collection... vous me diriez, c'est vrai que c'était mieux que rien, au moins ses parents n'avaient jamais oubliés de le lui souhaiter. Mais il n'avait jamais eu droit à une véritable fête, avec des ballons, des amis et toute la famille...

Lorsque Stéphanie sauta sur son lit, alors qu'il n'avait même pas eu le temps de se réveiller, il fit un grand bond et faillit la renverser, elle et son plateau... heureusement, il savait se contrôler, car il ne voulait pas prendre le risque de blesser son unique amie. Le jeune Crane n'avait jamais était aussi heureux que quelqu'un lui souhaite son anniversaire...

Ah, merci beaucoup, Stéphanie !

S'exclama-t-il tendis qu'elle s'asseyait à côté de lui et que tout-deux profitait d'un verre de jus d'orange et de deux tartines de nutella.

Par la suite, ils sortirent ensembles dans le jardin de la maison des Dent et profitèrent du beau soleil de la matinée pour s'amuser. Alors qu'ils étaient en train de se faire une petite course d'obstacle avec tout ce qui pouvait traîné dans le jardin... d'ailleurs, Stéphanie était en train de gagner, car si Jonathan était doué à tout les jeux de réflection, pour tout ce qui était sport, ce n'était pas encore ça... quelqu'un sonna à la porte. Jonathan d'immobilisa... avant même de les voir, il savait que ce qu'il avait craint pendant toute la matinée et qui avait, malgré son grand sourire, gâché un peu son bonheur, était en train d'arriver... ses parents firent irruption. Sans même accorder un regard à Stéphanie, ils le saisirent par les mains et l'entraînèrent hors de cette "Maison remplit de mauvaises ondes pour leur enfant", comme le dit si bien sa mère, en se contentant d'un simple "merci" à l'adresse de monsieur et madame Dent.

Assis à l'arrière de la voiture, Jonathan faisait la tête, et il n'écoutait même pas ses parents en train de lui rabâcher à quel point ils s'étaient inquiétés pour lui, du fait qu'il était partie et avait disparu toute la nuit sans la moindre nouvelle, qu'il était un horrible fils ingrat, qu'il était puni, et gnagnagna, et gnagnagna, et patati, patata,... cependant une phrase retint toute son attention, celle que dit sa mère à l'adresse de son père :

Nous ne devrions pas lui en vouloir... tout ça c'est la faute de cette maudite fille, elle lui a mi de ridicule idée dans la tête. Comme si la vie allait être facile pour lui en côtoyant ce genre de personnes... mais ne t'en fait pas, nous allons déménager à l'autre bout de Gotham et faire en sorte qu'ils ne se revoient pas. Le collège privé Saint Martin-Blanc sera par'...

Elle en avait vraiment trop dit pour les oreilles de Jonathan qui s'était détaché et se jeta entre les deux sièges-avants en attrapant le volant entre les mains de son père. A force de cris et de paniques, il perdit le contrôle de son véhicule et la voiture rentra dans un réverbère. Pendant que ses parents reprenaient leurs esprits, le fils Crane en profita pour sortir de la voiture et partir en courant dans les rues bondées, en se tenant son bras droit qui saignait, taillé par un morceau de verre. Il courut sans s'arrêter et arriva au bout d'une heure dans le champ où Stéphanie et lui avaient pic-niqués la veille. Il ne savait pas pourquoi il était venu se réfugier ici, mais c'était un endroit important à son coeur... c'était ici qu'il avait embrassé pour la première-fois son amoureuse, et à part Bo Griggs, personne ne savait qu'ils étaient venus dans ce coin perdu au milieu des champs de blés.

Assis contre un arbre, Jonathan déchira une manche de sa chemise et se fit un bandage rudimentaire autour de son bras blessé... ça ne servait pas à grand-chose comme désinfectant, mais au moins, il avait stoppé l’hémorragie. Et finalement, il resta là et attendit... il préférait fuguer de chez-lui plutôt que de déménager loin de sa première et unique amie. Il était venu ici à l'instinct, espérant que Stéphanie serait la seule à le retrouver... il retira sa partit du coeur de caché dans sa chemise et l'observa, les larmes aux yeux...

[J'espère que je ne vais pas trop vite ?]

Stephanie et Jonathan s'amusaient comme des fous jusqu'au moment ou les parents de son meilleur ami débarquèrent et obligèrent Jonathan à grimpé dans la voiture , Stephanie avait envie de courir aprés la voiture , sautée dessus et attraper son meilleur ami pour ne plus jamais le quitter ! La jeune fille rentra à la maison tête baissé . Stephanie monta dans sa chambre et ouvrit son placard où se trouvait le cadeau d'anniversaire de Jonathan et le glissa dans son sag à dos . Décidé , elle prit son vêlot et quitta la demeure des Dent à la recherche de son amoureux , elle était capable de traversé tout Gotham pour le retrouver ! Sur la route , elle croisa les parents de Jonathan entrain d'évaluer les dégats de l'accident . Madame Crane lui jeta un regard froid , si elle avait Stephanie à côter d'elle , elle n'aurait pas hésité à l'étrangler jusqu'a son dernier souffle !

Stephanie se doutait que Jonathan se cacher dans les champs car le lieu de l'accident s'était produit non loin des champs de Gotham , Stephanie s'enfonca dans le champ de mais à la recherche de Jonathan . Elle poussa les grandes tiges et apperçue le petit garçon bléssé ! Stephanie jeta son vêlot par terre et s'accroupie à côter de Jonathan , elle enleva son soi disant pansement et découvrie un bout de verre à l'intérieur , Stephanie mit sa main sur sa bouche pour ne pas pousser un cri de panique :

-Qu'est ... ce qui t'es arrivée ?

Stephanie le prit dans ses bras et fouilla dans son sac pour lui offrir son cadeau d'anniversaire qui était un album photo avec toutes les photos d'eux ensemble , le cadeau était accompagné d'un dessin et un poème d'amour fait pas Stephanie .

-Alors sa te plait ?

La jeune fille ne put s'empêcher d'embrasser la joue de Jonathan . 1 heure plus tard , les deux enfants étaient encore dans les champs , Stephanie proposa à Jonathan d'y rester pour dormir en face des étoiles . Mais quand soudain , la mère de Jonathan apparue et attrapa Stephanie par le col :

-Petite sorcière !

Elle l'a gifla violament et l'a jeta dans la rivière , malheuresement , la petite fille ne savait pas nagée et crié au secours de toute ces forces . La mère de Jonathan gifla aussi le garçon et déchira le dessin et poème que Stephanie lui avait donné :

-Jonathan ! Elle fait semblant de t'aimer cette peste , garce ! Elle ne t'aime pas ! Elle se moque de toi derrière son dos ! Raconte vos histoires à tout le monde ! Qu'est ce que tu peut être naive mon lapinou ! menta t'elle

-Au secours !! A l'aide ! cria Stephanie

-Oh ... laissa la mourir ! C'est pour ton bien tu sais ! Elle va disparaitre en enfer et toi , tu vas monter les étapes dans tes études ! Ecoute la mourir !

Stephanie commença à manquer terriblement de souffle et elle commença à perdre connaisance ...

Jonathan se débattait férocement avec sa mère tendis qu'elle le forçait à regarder sa petite amie couler dans la rivière et disparaître sous ses yeux... très vite, il ne resta plus d'elle que petites bulles à la surface de l'eau. Le fils Crane se débattit, appela à l'aide et cria le nom de Stéphanie, mais sa mère refusait de le lâcher, et s'était une femme très forte. Il lui mordit la main et voulut courir pour plonger au secours de sa petite amie, mais madame Crane l'attrapa par le col de sa chemise, le gifla puissamment à trois reprise et la dernière le fit tomber pas terre, à moitié assommé. Et elle recommença à lui répéter que si elle faisait ça, c'était pour lui, pour son bien, et que si il l'écoutait, il aurait un grand avenir... un grand avenir... mais à quoi servait-il d'avoir un avenir si il fallait qu'on soit toujours seul et malheureux ?

Jonathan se mit à pleuré... il la détestait ! Il détestait sa mère ! Il voulait la tuer ! Devant lui, il y avait un petit tas de débris qu'un fermier avait dû jeter là... au milieu, il remarqua un vieux sac de pomme de terre. Et tendis que sa mère observait la rivière, là où le corps de la jeune fille était en train de disparaître, il se releva derrière elle... le garçon portait maintenant le sac sur la tête, comme il aurait portait un masque, avec un simple trou devant son oeil droit qui lui permettait de voir. Il tenait à la main une grosse branche... il la leva et frappa la grosse dame en plein entre les omoplates, avec une telle force qu'il la fit tomber au sol. La femme se mit à se tortiller de douleur pour voir ce qui l'avait frappé, et vit avec horreur son fils au dessus d'elle, qui levait à nouveau son morceau de bois comme une massue...

Jonathan, mais enfin, qu'est-ce que tu... ?!

La ferme !

Répliqua férocement une voie sifflante derrière le sac, en la frappant sur la ventre.

La ferme... la ferme... la ferme !

A chaque fois qu'il dit ça, il la frappa dans l'ordre sur les jambes, sur le ventre, et sur le visage.

Plus jamais... il la frappa... entendre... il la frappa... cette maudite... il la frappa... phrase !

Et il la frappa encore.

La femme essaya de lui échapper en rampant, mais il lui brisa les doigts en lui frappant la main. Et il continua à abattre sa branche sur elle, toujours plus fort, toujours à des endroits plus douloureux. Lorsqu'il arrêta enfin, au bout du quarante-quatrième coup... il s'était étrangement beaucoup amusé à les compter... il observa le corps sanglant et brisé de partout de sa mère... la femme était encore vivante, et consciente, et il se délectait de voir briller une lueur de peur dans ses yeux.

Je... suis... ta...

réussit-elle à marmonner, mais Jonathan la coupa :

Tu sais, c'est pour ton bien...

... et il lui donna un dernier coup sur le visage. Puis il jeta la branche couverte de sang au loin et plongea dans la rivière. Lorsqu'il remonta, il tenait le corps de la jeune fille sur son bras. Il réussit à nager jusqu'au bord et la tira sur la rive. Elle était tellement froide, et elle ne respirait plus... Jonathan retira son masque, et lui donna de petite baffes, en lui disant d'une voie implorante :

J't'en pris, Stéphanie, pitié ! Tu peux pas mourir ! Tu peux pas m'laisser ! Réveille-toi !

Des larmes roulèrent sur ses joues et tombèrent sur le visage de l'adolescente. Il était tellement bouleversé qu'il n'entendit pas qu'un homme s'approchait discrètement de lui par derrière... c'était l'homme de qui il s'était inspiré le jour où il avait embrassé Stéphanie, et attiré par les cris de douleur de sa mère, il avait accouru et l'avait vu la frapper avant de plonger chercher Stéphanie. Jonathan vit tout noir et tomba dans les vapes quand il le frappa derrière la tête avec une pierre...

...

Jonathan se réveilla quelques heures plus tard, couché sur un lit, au milieu de draps blancs et propres... est-ce qu'il venait de faire un terrible cauchemar ? Est-ce que tout ce qu'il avait vu n'avait rien été d'autre qu'un rêve ? Il poussa un profond soupir de soulagement... c'était la meilleure explication, car il avait vu le bâton frapper sa mère entre ses mains, mais les souvenirs de ce passage étaient flous, comme si ce n'était pas lui qui l'avait fait, mais quelqu'un qui était en lui. Et si ce n'était qu'un rêve, ça voulait dire que Stéphanie allait bien ! Il voulut se lever et courir à sa recherche, mais il n'y arriva pas...

Il était attaché sur son lit par les poignets et les pieds, à de résistantes sangles en cuir. C'est alors qu'il remarqua qu'il n'était pas dans sa chambre, ni dans celle de son amie... il était dans ce qu'il ressemblait à une chambre d'hôpital. Son coeur se mit à battre très fort, tout à coup, et il eut mal au ventre... que faisait-il là, et pourquoi était-il attaché ? Il commença à essayer de se débattre, il cria pour que quelqu'un vienne le chercher, mais tout ce qu'il réussit à faire, c'est se faire mal à cause de ses entraves qui lui entrée dans le peau. La porte de sa chambre s'ouvrit et un grand homme en blouse blanche et avec des lunettes entra.

Le jeune Crane le regarda, effrayé. Il avait tellement peur qu'il n'arrivait pas à poser toutes les questions qui lui tournaient dans la tête... l'homme vint d'asseoir à côté de lui, sur un tabouret, et commença à parler :

Bonjour, Jonathan, je suis le docteur Hugo Strange, psychiatre travaillant à l'asile d'Arkham...

l'asile ? Pourquoi un homme de l'asile venait le voir ?

Tu dois être un peu effrayé, mais ne t'en fait pas, tout va bien se passer. Je suis au regret de t'annoncer qu'un peu plus tôt, ce matin tu as attaqué ta maman et une de tes camarades de classe...

Comment va-t-elle ?

Finit-il par réussir à demander lorsqu'il comprit qu'il parlait de la jeune Dent.

Ta maman s'en sortira, mais...

Pas elle, Stéphanie ! Où-est-elle ? Je veux la voir !

Oh...

le docteur Strange gigota un peu sur son tabouret, visiblement gêné.

Je suis désolée, il semblerait que dans ta folie, tu es fait tomber la petite Miss Stéphanie Dent à l'eau et qu'elle se soit noyée.

Les mots arrivèrent bien à l'esprit de Jonathan, mais il eut du mal à les comprendre... et plus leurs sens prenaient forme dans sa tête, plus ses yeux lui brûlaient...

Ce n'est pas moi, c'était ma mère...

Ta maman s'est réveillé et nous expliquée que tu as perdu l'esprit et que tu as attaqué ton amie. Elle a voulue t'en empêcher, mais tu l'as repoussé avec un bâton...

Non, ce n'était pas moi, c'était-elle... !

Ecoute, Jonathan : tu souffre de schizophrénie paranoïaque, une seconde personnalité qui t'a fait faire de vilaines choses sans que tu le veuilles. Il faut que tu me fasses confiance. Tu vas passer quelques temps dans cette chambre, et je ferais de mon mieux pour te soigner...

Non, vous ne comprenez pas... !

Si, bien-sûr que je comprends. Ne t'en fait pas, je te promets que je te soignerais. Repose-toi, maintenant, tu en as besoin.

Mais écoutez-moi... !

L'homme se leva et quitta la chambre, laissant Jonathan tout seul. L'enfant se mit à pousser des cris hystérique en se débâtant le plus fort possible avec ses entraves, jusqu'à se tailler la peau des poignets et des jambes. Il n'arrivait pas à y croire... sa propre mère venait d'assassiner sa seule et unique amie, son seul et unique amour, et en plus de tout-ça, elle venait de le faire accuser de son crime. Mais le plus dur, pour lui, c'était savoir que jamais plus il ne pourrait revoir le beau et tendre visage de Stéphanie. Pourquoi, pourquoi fallait-il que ce soit elle qui meurt ?!

Jonathan continua à se débattre et à crier durant nombreuses minutes, jusqu'à se que des infirmières ne fassent irruption dans sa chambre pour lui injecter un produit pour le calmer. Mais avant il eut le temps d'annoncer de sa voie sifflante toute sa haine à la face du monde :

Un jour, vous le regretterez, tous autant que vous êtes ! Vous ne savez pas ce que c'est que la peur, et je vous ferez découvrir ! Je ferais brûler Gotham City dans l'enfer de ma vengeance, et personne n'échappera à la colère de l'EPOUVANTAIL !!!

... et après l'injection, il se laissa retomber sur le lit, complètement détendu. La colère le rongeait toujours et il était en partie conscient, mais tout autour de lui était étrangement vague, silencieux, apaisant...

[J'espère que la naissance de notre ami remplit de paille t'as plu ^^ Personnellement je me sens tout essoufflé rien que de l'avoir écrit]

Stephanie se réveillé avec un affreux mal de crâne ! Où était t'elle ? Depuis combien de temps ? Que s'était t'il passait ? Un énorme masque d'oxygène masquait sa bouche . Un médecin à la blouse blanche , chauve et des lunettes rondes se rapprocha t'elle avec le sourire aux lévres :

-Eh bien ... pendant 5 heure tu as recontrée la mort qui ta ramenait à la vie !

Il quitta la pièce et annonca la nouvelle à ses parents , son père bondissa sur elle ! Sa mère pleurait de joie , Harvey Dent avait tout racontée à la police . Il était sur que Jonathan n'avait rien fait ! Rien ! Certainement quelqu'un d'autres ! Jonathan devait s'expliquer à la police qui avait filer vers Arkam lui poster quelques questions .

Stephanie commença à ressentir ses forces revenirs , voir plus clairement et se souvenir de cette tentative d'assasinat !

Arkam ,

Jeff un des flics de Gotham city et un des rares à ne pas être corrumpue de la ville pénétra dans l'asile le plus dangeureux de la ville , il portait un uniforme de police , chose qui porte malheur à Gotham ! Il se perdra dans les couloirs de l'asile suivit d'un psycologue qui lui ouvrit la porte .

Jeff balaiyia du regard la pièce froide et sale puis tourna les pupilles vers le jeune garçon :

-Bonsoir ... je suis Jeff Henrie et je suis venue de poser quelques questions àpropos de se qui s'est passée !

Le flic prit le tabouret et s'installa près du petit garçon , il lui souria pour le rassuré et pour commencer , il lui indorma l'état de santée de son amoureuse :

-Ton amie ... hummm Stephanie Dent à était morte pendant 5 heures mais grâce à Dieu , elle à survécue ! Elle est en vie ! Mais comme elle vient de se réveiller , je vais te poser tes questions ! Le père de Stephanie pense que tu es innoncent mais il ne sait pas qui est s'éte personne qui vous as agréssé !

L'homme avala sa salive acide parce qu'il avait cracher son chewing gum au citon avant de rentrée et lui provoqua un air de dégoût :

-Bien ... Quelle heure était t'il , mon garçon ? Tu fesait quoi dans les champs avec ton amie ?

A fur et à mesure des réponses de Jonathan , le policier nota rapidement les réponses de celui-ci sur son bloc note :

-C'est ta mère qui vous as agréssé ? Tes parents te battaient avant cet événement ? Elle as jeté Stephanie dans la rivière violament ?

( ... )

-Papa ! Ne t'inquiète pas ! Je vais arriver à marcher toute seule debout ! s'écria Stephanie dans les couloirs de l'asile

-Très bien ! Mais pourquoi ils ont envoyé Jonathan à l'asile ?

-Eh bien ... sa dépend qui te chope ! Si c'est un psy tu est sur et certain de tomber à l'asile !

Un garde leurs ouvrit la porte , Stephanie appuyé sur des béquilles souria tendrement à son amie , Stephanie s'approcha du lit et lui fit un bisou sur le font en lui caréssent les cheveux , son regard devena noir quand elle le vit attaché de tout les côtés alors elle le détacha et sortie de son sac un gilet pour le recouvrir . Stephanie salua le policier et s'installa sur le lit :

-On était justement entrain de parler àpropo de votre agresseur ! dit le flic

Stephanie s'installa sur le lit en prenant la main de Jonathan ...

Jonathan resta ce qui lui sembla être un très long moment, seul, attaché sur son lit, dans cette chambre sombre et froide. Ses poignets et ses jambes portaient des bandages blancs afin de stopper les hémoragies là où il s'était coupé. Les produits qu'on lui avait injecté l'avait rendu tellement calme qu'il ressentit à peine lorsqu'une mouche vint se poser sur son nez... serte, il ne criait plus, serte, il ne se débattait plus... cependant, son esprit fonctionnait encore, et il continua à remuer ses désirs de vengeance dans un coin sombre de son cerveau. C'est à ce moment là qu'elle lui rendit visite, qu'elle vint le voir après une longue absence... La Voie.

Il l'entendit dans sa tête, comme si c'était au travers d'une caverne, profonde et résonnante, sifflant comme une nuée de cobras dans la nuit...

Le jeune Crane regarda à droite et à gauche, mais il ne vit personne d'autre que lui...

C'est toi ?

Demanda-t-il d'une voie faible, insertaine...

C'est seulement que...

Lequel ?

Qu'est-ce que tu es, en réalité ?

Cette idée plaisait à Jonathan, qui malgré son état d'épuisement avancé, sourit... plus jamais il ne souffrirait, car plus jamais il ne penserait par lui-même. Tout ce qu'il fera, à partir de maintenant, ce sera de suivre La Voie, et il deviendra l'homme le plus puissant, le plus terrible de tout Gotham City. Sa seconde personnalité continua à lui envoyait par pensée son image de leur avenir, ils allaient détourner l'image que les gents se faisaient d'eux à leur propre avantage et la retourner contre-eux, jusqu'à ce qu'ils soient dérangés...

Un homme entra dans sa chambre, et il était habillé en flic... depuis quelques minutes, le jeune Crane avait entendu des hués et des sifflements dans le couloir, et il commençait à comprendre d'où ça venait : des détenus, en colère de voir un poulet venir les harceler jusque dans leur cellule. Mais il se demandait quand-même ce qu'il lui voulait, à lui... il n'allait quand-même pas être envoyé en prison, ou plutôt, vu son âge, en maison de correction ?! Quoi que, en même temps, ce serait plutôt logique : il était accusé d'avoir tué une jeune fille, et personne ne voulait l'écouter, personne ne voulait le croire quand il disait que c'était sa mère qui les avait attaquée. La Voie, tout au fond de son être, lui disait qu'il y avait quand-même une chose de bien, dans tout-ça : cela lui donnerait du caractère et ne ferait que le rendre plus apte à leurs projets le jour où il sortirait.

L'homme se nommait Jeff Henrie et il voulait lui poser des questions sur son petit "incident"... Jonathan s'en serait douté, et il détourna un peu le regard, se contentant d'écouter d'une oreille distraite ce qu'il lui disait et de hocher la tête pour lui signaler qu'il avait son attention... jusqu'à ce qu'il lui annonce que Stéphanie était toujours en vie ! L'adolescent le regarda alors droit dans les yeux, son coeur se mettant à battre très fort... vivante ! Son amie, son amoureuse, elle était vivante ! Après tout le désespoir qu'il avait ressentit, la lumière en lui se ralluma... elle était vivante !

Jonathan voulut se lever... mais il se fit mal à ses plaies lorsque les sangles frottèrent dessus. Alors il se contenta de jeter un regard suppliant au policier :

Pitié, je veux la voir !

Je suis désolé, mais pas tout-de-suite, elle est encore à l'hôpital. Mais ne t'en fait pas, elle devrais bientôt sortir... je veux d'abord que tu réponde, d'accord ?

L'homme avait une voie calme et gentille... finalement, il arriva à rassurer le jeune garçon. Et Jonathan répondit, honnêtement, à tout ce qu'il lui demanda. Il lui expliqua que ses parents refusaient qu'il voie son ami, que ses parents le frappaient lorsqu'il n'avait pas une note suffisante à leurs yeux, qu'il avait fugué à cause de tout-cela et qu'il s'était caché dans le champ, et tout ce qu'il s'était passé à partir du moment où sa mère les avait retrouvée... cependant, il se bloqua au moment où il s'était relevé avec le bâton...

A nouveau, la porte s'ouvrit, et cette fois-ci, ce fut la vision de ses rêves qui passa par le seuil... Stéphanie ! Elle était venue le voir. Elle détacha ses sangles, ce qui lui fit beaucoup de bien, et le couvrit avec un gilet. Puis elle s'assit près de lui et pris sa main dans sienne. Jonathan était tellement heureux de la voir que les mots n'arrivaient pas à sortir de sa bouche, et il se contenta de poser sa tête sur son épaule, avec un sourire rêveur... le policier l'encouragea à continuer, et Jonathan ouvrit la bouche, se préparent à leur parler de la façon avec laquelle il avait battu sa mère...

Et le jeune garçon fut coupé dans son élan, alors que La Voie chuchotait à son oreille

Jonathan regarda Stéphanie... non, il ne serait pas seul, temps qu'elle resterait auprès de lui. Mais il fut forcé de se l'avouer : il voulait que La Voie reste, il ne voulait pas qu'ils la fassent partir... quand il était avec elle, il faisait plus froid que quand il était avec son amoureuse, mais il se sentait en sécurité.

Alors je ne sais plus trop... je me souviens que ma mère était à terre, et j'ai plongé chercher Stéphanie.

Ce fut la seul excuse qu'il trouva.

Le policier insista pour en savoir plus, mais Jonathan refusa d'avouer... il se contenta de dire qu'il ne se souvenait plus de rien. Alors Jeff se leva, salua l'assemblée et quitta la pièce. Lorsqu'il sortit, le docteur Strange entra et demanda :

Monsieur et madame Dent, puis-je vous voir un moment, s'il-vous-plais. Tu peux rester avec ton ami, si tu veux, petite.

Et les trois adultes sortirent dans le couloir. Les parents de Stéphanie étaient très agités, et monsieur Dent dit au psychologue :

J'espère que vous allez vite relâcher ce pauvre garçon... son témoignage est important, je tiens à ce qu'il soit dehors dès ce soir. Nous l'accueillerons chez-nous, si il le faut, le temps que ses parents soient mis en examen !

Je crains que ce soit plus compliqué que ça, monsieur. Aucun juge ne voudra jamais prendre en compte son témoignage.

Comment-ça ?

Demanda madame Dent, choquée.

Sa mère à voulue tué notre fille en le forçant à regarder, et Stéphanie et Jonathan sont témoins tout les deux...

Mais ce ne sera pas suffisent. Voyez-vous, le jeune monsieur Crane à battu sa mère presque à mort avec un bâton, le visage couvert avec un masque, et il a passé une demi-heure à proférer des menaces de mort contre Gotham. Et il n'en a aucun souvenir... j'ai maintenant la preuve qu'il est atteint d'une maladie mental, d'un dédoublement de personnalité assez meurtrier... les juges diront que c'est là les dires d'un cerveau malade, et quand à votre fille... personne ne voudra croire une enfant de onze qui veux protéger son ami. Non, croyez-moi, n'allez pas au procet, vous ne ferez que perdre votre temps et votre argent, vous n'avez pas assez de preuve, et la police va en arriver à la même conclusion. Je vais m'occuper personnellement du jeune Crane... il sera sorti d'ici un mois, lorsque j'aurais réussi à le guérir de sa schizophrénie.

Dépités, les parents de Stéphanie s'observèrent, et entrèrent dans la chambre pour annoncer la nouvelle aux enfants. Jonathan était resté silencieux pendant tout ce temps, contre Stéphanie, à l'écouter, à profiter de sa présence et de sa chaleur... les produits qu'on lui avait injecté le rendaient toujours un peu comateux.

La petite fille n'en croyait pas ses oreilles , Jonathan fou ? Il était dangeureux ? Non ! Elle le comprennait ! Stephanie aurait réagit de la même façon que Jonathan en frappant , frappant sa mère pour lui faire comprendre que leurs liens étaient très fort ! Stephanie baissa le regards et se blotissa dans les bras de son amoureux , elle ne voulait pas être séparée de lui ! Elle l'aimait trop , sens lui , elle n'est plus la même ! Les journées sens sa présence serait pénible et très dur ! Désormais , il était son seul ami .

-Papa , on l'emmène avec nous !

-Mais le Docteur Strage ...

-JE M EN FICHE ! IL N EST PAS FOU ! C'EST LE DOCTEUR STRAGE LE DINGUE !

Son père rajusta sa cravate pendant que son épouse approuva les paroles de sa fille :

-Elle à raison ! Jonathan n'est pas fou !

Stephanie aida Jonathan à se relever et l'embrassa tendrement sur la joue :

-Merci de m'avoir sauver ! dit t'elle en rougissant

-Ben ... vous vous .... sortez ensemble ? questionna son père surpris

Au fond du couloir , on attendait les cris de sa mère qui harceler le docteur de libérer le jeune garçon , elle ne l'acherait rien ! Tel mère tel fille comme on dit ... Rachel aggripa la main de Jonathan et marcha de toutes vitesse pour être de nouvel fois confronter au docteur strange .Fort heureusement , ils parvenèrents à atteindre le véhicule pour rentrer chez les Dent .

Deux jours plus tard :

-Ne t'inquiète pas Jonathan ! J'en suis sûr que Madame Truisso s'occupera bien de toi ! s'exclama la mère de Stephanie en mettant un carton dans un camion

Stephanie était en larme , inconsalable , la famille Dent déménager au centre de Gotham , Harvey et Rachel ne voulaient pas garder son meilleur ami car la maison était trop petite pour l'accueillir et ses parents étaient toujours en vie . Rachel avait donc décidé que Jonathan parte en famille d'accueil pour son bien . Stephanie en pleurnichen , s'approcha de Jonathan et s'effondra dans ses bras , ils n'allèrent plus se revoir ! Plus jamais !

-Jonathan ... sache que tu restera à jamais dans mon coeur ! Je t'aime depuis le tout début ! Tu es mon premier grand amour et mon dernier je pense ! Dit t'elle la gorge noué de tristesse

Stephanie offrie à Jonathan une lettre avec une pierre où ils avaient gravé ensemble leurs prénoms . Stephanie embrassa une dernière fois Jonathan en lui disant un dernier " au revoir " .

**

11 ans plus tard

**

La jeune femme de 21 ans devait aujourd'hui accompagné sa mère à son travail au tribunal pour une affaire de meurtre . Pendant ce temps là , elle resta contre la porte d'entrée en envoyant des textos à ses amies les plus proches . Soudain , un homme s'approcha de la porte pour entrée dans le tribunal , il avait plutôt l'air froid , il avait les cheveux noir avec les yeux très clair qui se tenait en sécuriter sous une paire de lunette carrée .

1 heure plus tard , sa mère ressortie du tribunal accompagné de cet homme mystérieux :

-Docteur Crane ! C'est le 3ème homme que vous déclarer fou alors que Victor Zasz n'est que la mafia !

Stephanie s'approcha d'eux et leva le ton pour que sa mère se calme puis se tourna vers se fameaux Docteur Crane :

-Euh ... excusez moi ! Ma mère est chiante ! Enfect ... je suis Stephanie Dent dit t'elle en lui serrant la main

De plus près , le docteur Crane était très élégant , il était plutôt charmant :

-A ce soir alors pour notre diner ! dit sa mère d'un ton sèche

Rachel n'avait pas l'air d'apprécier le jeune médecin , elle le soupsonnait même corrumpue ! Elle lui avait proposer de venir dîner pour dicutait se cette affaire de mafia !

Le soir au restaurant que sa mère avait choisie pour le lieu de rendez vous , Stephanie l'avait accompagné pour ne pas rester seule à la maison , quand le docteur Crane arriva , Stephanie se sentie immédiatement attiré par lui , elle mie la main sur son coeur comme si elle voulait le calmé et s'installa sur la table près de l'aquarium :

-Alors Docteur Crane , Victor Zasz est simplement corrumpue ! On le paye pour se qu'il fait , il mérite la prison ! dit sa mère

Stephanie s'en fichait complètement de cette affaire de " mafia " , elle avait plutôr les yeux braqué sur le bel homme en face d'elle , il était très élégent mais elle ne devait pas allé plus loin car elle était fiancée au PDG de Oscorp depuis quelques mois :

-Excusez moi , je dois allé au toillete . fit sa mère

Désormais , elle se trouvait seule face au psychiatre le plus respecté de la ville , Stephanie se sentie mal à l'aise mais décida d'entamer la discution pour ne pas l'ennuiyer :

-J'ai entendue dire que vous ête le plus grand psychiatre de la ville ! Bravo ! Votre cerveau vous fascine ! Où avez vous étudier ?

HJ : J'ai rajouter les retrouvailles de nos personnages puisque que sur Joker city , le niveau de l'épouvantail qui été avant n'été pas top alors pourquoi pas le refaire comme neuf ? Car certaine personne ici ne savent rien de notre passée et retrouvaille amoureuse ! Au moment où Jonathan et Stephanie se retrouvent , elle sort avec Harry Osborn mais dès qu'elle rencontre Jonathan tout est chanbouler dans son coeur !

[Je trouve que l'idée est bonne Very Happy

Pardon si c'est un peu court, panne d'inspi']

Jonathan Crane, âgé de dix ans de plus depuis qu'il avait vu sa meilleure amie pour la dernière fois, et à ce jour unique amie également, se tenait assis sur une chaise du restaurant, face à la mère Dent et à sa fille. Depuis le début de la soirée, le docteur Crane discutait avec madame Dent du dernier patient qu'il avait fait envoyer dans l'asile d'Arkham où il travaillait, et où les patients étaient devenus les cobayes de ses dernières expériences sur ses gaz hallucinogène. Il y avait réellement rien de mieux que des esprits malades pour étudier de près les peurs qui régnaient sur les coeurs des hommes, mais surtout, c'était un aussi un excellent moyen pour réduire au silence certaines personnes gênantes et également éviter la prison à quelques "amis"...

Il est effectivement possible que Zasz ait été payé pour ce qu'il faisait, bien que cela ne puisse être prouvé... mais j'ai eu l'occasion de discuter avec lui, et croyez-moi, madame Dent : il prend un grand plaisir à torturer et à massacrer de jeunes filles. Monsieur Zasz est un psychopathe, et il doit se faire soigner, seul l'asile sera bon pour ce qu'il a... et bien sûr, je serais ravi de vous tenir au courant de ses évolutions et de vous laisser l'emprisonner dès que j'aurais la possibilité d'affirmer que son esprit n'est pas atteint d'une quelconque maladie psychique.

Jonathan ria presque devant le regard que lui lança madame Dent... il trouvait amusent d'essayer de la convaincre, alors que de toute façon, quoi qu'il arrive, il savait qu'il gagnerait, et que cet homme serait envoyé à Arkham : il avait tout fait, avec l'aide de Falconé, pour que ce soit le cas. Mais cette femme était quand-même une sacré épine dans son pied, elle tentait toujours de se mettre en travers de son chemin, quoi qu'il fasse, et cela devenait agaçant. Il mourrait d'envi de se servir de son vaporisateur de gaz, caché sous sa manche. Il en gardait toujours un sur lui, maintenant... c'était devenu une habitude, une sorte de moyen d'autodéfense. Il trouvait cependant ça quand-même un peu triste, au final : quand il avait été petit, il avait encore plus aimé cette femme que sa propre mère.

Cependant, même si le docteur Crane faisait en sorte de rester concentré sur l'affaire qui les avait tous rassemblait à cette table, ce soir-là, comme au temps où il avait eu onze ans, sauf qu'à l'époque, il ne se disputait pas avec la mère de sa petite amie, son regard ne pouvait s'empêcher de se tourner régulièrement vers la jeune femme à côté d'elle. Il savait que c'était elle... Stéphanie. Il ne l'avait plus revu depuis si longtemps... mais il reconnaîtrait toujours et entre mille ces cheveux blond et bouclés, tel un joyeux soleil, et ce regard sauvage et déterminé... elle était la fille qui avait été la seule goûte d'espoir dans l'océan de ténèbres de l'Epouvantail. Et pourtant, elle n'avait pour lui simple regard intéressé... ce pouvait-il qu'elle ne le reconnaisse pas ?

Que n'aurait-il pas donné pour rester seul avec elle, seulement quelques minutes... et de toute évidence, quelqu'un semblait avoir entendu sa prière. La mère Dent se leva en annonçant qu'elle les laissait un petit moment pour aller aux toilettes. Le sourire de Jonathan s'élargit...

Faite donc, chère amie,

lui dit-il de son ton qui paraissait toujours trop poli pour paraître sincère. Nous vous attendons ici...

Et, lorsqu'ils furent seuls face à face, le docteur Crane posa son regard sur le magnifique visage de Stéphanie... elle était encore plus belle que dans ses souvenirs. Mais hélas, ce qu'elle lui dit par la suite confirma ses craintes : elle voulait savoir où il avait étudié... elle ne se rappelait pas de lui ! Jonathan sentit la déception lui envahir le coeur, cependant il décida de répondre, espèrent pouvoir lui faire se rappeler :

Merci pour votre compliment. J'ai également entendu de grande choses sur vous. Votre mère ne manque jamais de me dire à quel point vous êtes extraordinaire, et je ne peux que le confirmer. Personnellement, j'ai étudier jusqu'à onze ans dans une petite école de quartier, la même que vous, en fait, puis mes parents m'ont envoyé dans le plus prestigieux collège privé de Gotham City, où j'ai commencé à étudier les science et la chimie, surtout ce qui touché aux peurs psychologique. J'ai continué mes études à l'univertisité de Gotham où j'ai eu mon diplôme... et me voici aujourd'hui, devant... toi, à nouveau.

Il décida de laisser tomber le vouvoiement et de lui parler comme à l'époque où ils étaient encore de grands amis. Il s'approcha un peu d'elle par-dessus la table, les coudes posés de par et d'autre de son assiette, et lui dit, d'un ton calme :

Tu ne te rappelles donc pas de moi ? Nous étions amis, à l'époque... tu as été ma première et seule amie. Ca a démarré comme ce soir : tu t'es simplement intéressée à ce que je faisais, et nous avons commencé à nous côtoyer. Tu m'as aidé à me sentir comme un enfant normal, tu m'as donné le courage de me défendre... et je t'ai même sauvé la vie lorsque ma mère à refusé que nous soyons ensembles. Nous avons été séparé, j'ai été envoyez dans un famille d'accueil... jusqu'à ce que mes parents ne réussissent à se mettre les juges en poches et qu'ils m'aient récupérés. Si tu ne te souviens pas de moi, peut-être au moins que tu te souviendras de ça...

Jonathan passa sa main dans sa chemise et en sortit une chaîne doré, avec sa moitié de coeur noir dessus, le posa au creux de sa main et le lui tendis... il espérait que Stéphanie aurait gardée le sien...

Stephanie resta bouche bée , l'homme en face d'elle venait de lui prouver qu'il était son meilleur ami d'enfance c'était peut être à cause de cela que son coeur bataît la chamade . La jeune femme agripa son sac et lui montra le collier qui lui avait offert accroché sur son téléphone portable . Elle lui souria et se leva pour le prendre dans ses bras et le serrant très fort . Puis , elle se détacha de ses bras sens quitté son sourire :

-Jonathan tu ... tu es devenue un homme séduisant ! Que devient tu depuis ?

Sa mère reprit sa place sur la chaise juste à côter de la jeune femme , son visage était fermée , sa mère Rachel ne se rappelait surement plus de Jonathan Crane car elle le prenait comme un fils étant petit mais désormais sa mère le prend pour un homme fou à la tête d'un asile et corrumpue ! Sa mère mit son sac sur la table en regardant les deux amis :

-Pourquoi vous vous êtes pris dans les bras ? Hum ... pfff ! Bref !

Pendant tout le repas , Stephanie écouta la discution entre Jonathan et sa mère à propos de Victor Zasz qui était surement actuellement entraind de moisir à Arkam , d'aprés les dires de Jonathan , la jeune femme avait compris qu'il était devenue un psychiatre spécialisé pour les phobies et peur en tout genre .

-Oui Maman ! Il a raison ! Zasz tue des gens innocent et se fait une cicatrice et les collectionnes comme des trophés ! Jonathan à raison !

-Depuis quand tu appele un homme par son prénom ? répondit sa mère furieuse

Stephanie leva les yeux aux ciel et ignora la question . Aprés le repas , Stephanie rejoignit Jonathan sur le balcon du restaurant de luxe . Désormais seuls , elle avait bien l'intention de s'occuper de lui !

-Quel talentueux psychiatre ! s'exclama t'elle

Stephanie passa ses mains froide sur les joues du jeune homme en le regardant dans les yeux , il avait toujours gardé ses beaux yeux bleu ! La jeune femme voulut l'embrasser mais une chose l'empêchait , elle est fiancée à Harry Osborn et si elle le tromper , il ne l'a pardonnerait jamais et peut être que Jonathan à une femme des enfants qui sais !

-Oh ... excuse moi ! Tu as tellement changer ! Tu es si beau .... as tu une femme ? Des enfants ? Moi , en tout cas j'ai un fiancé qui s'appele Harry Osborn

Sa mère avait prévenue Stephanie qu'elle rentrerait à la maison pour s'occuper de ses papiers . Stephanie avait souhaitait resté pour redécouvrir le nouveau Jonathan et pas pour resté pour le spectacle qui aura lieu à 23H30 à l'étage du dessus du restaurant . La jeune femme proposa au jeune homme de rester dormir chez lui et passé la journée chez lui comme au beau vieux temps . Alors les deux jeunes gens quittèrent le restaurant et se dirigèrent en voiture vers l'appartement du jeune homme . Arrivée là bas , l'appartement de son ami était assez simple , les murs étaient blanc , peut de décoration , et sur la table du salon il était posé quelques instrument de chimie .

-Je vois que tu aime la chimie !

L'appartement de Jonathan Crane pouvait en effet paraître plutôt simple... ce n'était qu'un T2, avec une chambre, une cuisine et un salon séparés par un bar, et une salle-de-bain/toilettes avec une baignoire. Il pouvait paraître étonnant qu'un illustre psychiatre de l'asile d'Arkham, assez bien payé, comme il l'était, vive dans un endroit pareil... ce n'était serte pas un trou à rat, l'appartement était sympathique, bien éclairé, la chaudière marchait, et tout ce qu'on voulait, mais ça paraissait plutôt simple pour quelqu'un qui gagnait autant que lui... si la jeune femme blonde lui posait des questions, cependant, il se contenterait de lui répondre la même-chose qu'aux autres : c'était on ne peut plus suffisant pour un célibataire comme lui, et il préférait mettre son argent de côté pour sa retraite. Et, en entendant ça, la voie en lui, celle de l’Épouvantail, se mit à rire : en réalité, une grande partie de cette argent partait dans ses achats de produits chimiques sur la marché noir.

Stéphanie s'intéressa de près au matériel de chimie qui envahissait sa table, et dont il se servait pour ses expériences et ses prototypes de poudres hallucinogènes. Pendant un moment, il voulut l'arrêter, mais il se ravisa... ça paraîtrait suspect si il l'empêchait de s'approcher de son matériel, et de plus, par chance, il n'y avait pour le moment aucun produit dangereux à respirer... seulement quelques graisses animales et de l'eau à faire bouillir. Toute autre substance nocive étaient pour le moment planquées dans le coffre-fort de son bureau, caché derrière un miroir, à Arkham. Jonathan s'approcha d'elle et lui répondit :

Oui, même si je suis psychologue, je continues de faire quelques expérimentation. J'espère ainsi comprendre mieux la chimie de la peur, et apprendre à la guérir...

susurra doucement la voie de l’Épouvantail à son oreille. Mais Jonathan l'ignora, préférant se tourner vers Stéphanie et l'admirer.

Tu es devenue une très belle femme,

lui dit-il.

Ce Osborn à vraiment beaucoup de chance que tu l'ais choisie...

... et le docteur Crane disait ça sérieusement. Il était sûr qu'en retrouvant la seule fille de qui il était tombé amoureux, il avait espérait que, peut-être... mais même si il était un criminel qui avait l'habitude de voler les choses qu'il voulait possédé mais qu'il ne pouvait s'offrir, il décida que le coeur de miss Dent, ça, il ne le volerait pas. Il avait espérait qu'elle soit avec lui, mais il savait aussi que si il la forçait, ou si il se débarrassait de son rival, ça la rendrait malheureuse... Stéphanie Dent était bien la seule personne au monde que Jonathan ne voulait pas faire souffrir.

Ils passèrent une bonne partie de la soirée à discuter... Jonathan en apprit un peu plus sur le parcours qu'avait eue Stéphanie depuis la dernière qu'ils s'étaient vus, et il en fut de même pour elle. Il passa bien-sûr sous silence son alter-égaux, ses expériences interdites et le meurtre de ses parents, mais pour le reste, il fut plus ou moins honnête, si on peut dire ça comme ça. Puis, lorsque tout-deux sentirent leurs yeux se fermer, ils décidèrent d'aller se coucher... ils allaient passer la journée de demain ensemble, le docteur Crane avait fait en sorte de prendre sa journée expré pour ça, alors ils auraient le temps de se redécouvrir l'un l'autre.

Jonathan insista pour que Stéphanie aille dormir dans son lit, et lui il prit le canapé. Il aurait tellement aimait qu'ils dorment tout les deux, comme à l'époque où ils sortaient ensemble, quand ils avaient onze ans... mais il avait peur de commettre des erreurs et de faire fuir la jeune femme, en songeant qu'elle avait maintenant sa propre vie et qu'il ne pouvait... non, disons plutôt qu'il ne voulait pas la lui gâcher. Mais malgré tout-cela, il ne put s'empêcher de rêver de la belle blonde durant la nuit...

Le lendemain, Jonathan se réveilla avec le soleil, ayant oublié de fermer les rideaux du salon... mais il en profita, vu que Stéphanie dormait encore, pour lui préparer le petit déjeuné. Il ria un peu tendis qu'il préparait un plateau avec trois tartines de nutella pour chacun... c'était le même genre de petit-déjeuné qu'elle lui avait préparée le jour de ses onze ans. Ils voulaient se rappelé le bon vieux temps, alors autant aller jusqu'au bout... la seule petite différence, c'est qu'au lieu du verre de jus d'orange, il prépara une tasse de café pour chacun. Puis il partit vers sa chambre avec le plateau...

Après avoir ouvert la porte, il resta un petit moment à l'admirer... elle était encore plus belle quand elle dormait, et il voyait vraiment en elle la gentille petite fille qui l'avait accepté malgré les avis des autres enfants. Peut-être qu'il n'aurait pas aussi mal tourné, si seulement ils étaient restés ensembles... il posa ensuite le plateau sur les couvertures, et lui chuchota doucement à l'oreille :

Coucou, la belle aux bois dormant, c'est l'heure de se réveiller...

Le lendemain , la jeune Dent se réveillia pas dans le lit du PDG de Oscorp mais dans celui lui de son meilleur ami d'enfance qui se tenait près d'elle avec un petit déjeuner tout préparer . Stephanie souria et se redressa pour serrer dans ses bras Jonathan et lui choper les joues avec ses deux mains pour l'embrasser tendrement sur la joue puis elle mit mit sa main gauche devant ses yeux :

-Oh c'est gentil Jonathan ! Merci pour le déjeuner au lit ! Euh ... évite de me regarder quand je suis pas maquiller je ne ressemble à rien sens sa ! dit t'elle en regardent le plateau .

Stephanie commença à dévorer en même temps que Jonathan le déjeuner posait sur le plateau , il ressemblait beaucoup au déjeuner qu'ils mangeaient quand ils étaient jeunes . La jeune femme grimaça à la vue du café :

-Beurk ! J'aime pas le café ! dit fit t'elle avec un regard d'excuse

Dent ne quittait pas des yeux Jonathan , quand ils s'étaient retrouvé , physiquement , il était glaçial , froid , très mystérieux une chose qui plaisait beaucoup à Stephanie . Aprés avoir finit de déjeuner , Stephanie fila dans la salle de bain pour prendre une douche , s'habiller comme à son habitude : jean foncé , pull couleur marron avec des motifs et elle n'oublira jamais de se maquiller , ombre à paupière discret couronné pour un épais mascara qui couvrait ses cils qui malheuresement n'étaient pas épais naturellement . Sortie de la salle de bain , elle ne quitta pas Jonathan , allongé sur le ventre sur le canapé , elle le contemplait :

-Quels études à tu faite pour devenir psychiatre ? Car moi j'aimerais devenir infirmière psychiatrique ou normal , que me conseil tu ? questiona t'elle au jeune homme aux yeux bleu clair .

La journée passa très vite aux yeux des deux meilleurs amis , Stephanie avait bien l'intention de passer la semaine chez lui . Elle était comme ... attiré par lui ! Surement son côté mystérieux mais elle ne devait pas se rapprocher de lui car très bientôt elle deviendra la femme du grand Harry Osborn fils de Norman Osborn , ce n'était pas le moment de tout cacher alors que les décorations pour la salle de mariage coûter cher et arrivé en masse devant l'entrée de la luxeuse salle . La jeune femme choper la télégommande et écouta les informations :

-Oh ! Encore l'Epouvantail qui as rendue cinglé des gars qui bosse pour Maroni ! Tu sais ce gars ... il est bisare ! Le jours où on sait retrouvée et quand j'était sortie du tribunal pendant la fin de journée un type m'a agressé et ... il est arrivé à bloquer ma respiration et m'a sauvée alors que c'est un criminel !

Stephanie semblait tout à coup angoisser :

-Tu croit ... que l'Epouvantail veut me tuer ?

Stéphanie disait qu'elle ne ressemblait à rien quand elle n'était pas maquillée... mais au contraire, il trouvait qu'elle était encore plus belle ainsi. Les quelques fois où il s'était intéressé aux femmes... et oui, ça lui était arrivé, parfois, bien qu'il ne se soit jamais lancé dans une histoire comme ce qu'il avait eu avec son amie d'enfance... il avait toujours préféré celles qui savaient garder leur naturel, qui ne se sentait pas obliger de lancer de la poudre aux yeux des gents pour se croire belle. Il voulut le lui dire, pendant un moment, mais finalement il se ravisa et se contenta de détourner les yeux en riant un peu... Jonathan avait toujours des sentiments pour elle, mais il ne voulait pas qu'elle s'en rende compte. Il savait que quoi qu'il puisse arriver, il n'avait aucune chance de la récupérer... elle allait se marier, elle était amoureuse d'un autre, et insister ne ferait que le faire souffrir.

Durant le reste de la journée, ils restèrent chez-lui, et discutèrent... lorsqu'ils étaient adolescents, Stéphanie avait réussie en quelque-sorte à "l'apprivoiser"... façon de parler, bien-sûr. Disons qu'à l'époque, Jonathan était un garçon solitaire, timide, très peu bavard et craintif envers les autres, qui avait pris de l'assurance auprès d'elle. Il était redevenu comme ça au fil des années où il avait vécu seul, car sa vie de criminel était assez solitaire, et il faudrait surement un peu de temps avant qu'il ne se sente à nouveau complètement à l'aise avec son amie. Alors pendant le temps qui passait, il se montra plutôt discret, presque froid... il se contentait d'admirer sa beauté... finalement, Stéphanie se maquillait, serte, mais pas énormément, juste comme il aimait, et ça mettait bien en évidence ses yeux... et de répondre quand elle lui posait une question.

J'ai suivit le cursus habituel à l'université de Gotham,

expliqua Jonathan quand Stéphanie voulue savoir quelles études il avait fait.

Ils ont des classes spécialisées pour ça, et je suivais également des courts par correspondances d'écoles supérieurs d'autres pays, pour approfondir mes connaissances sur la psychologie humaine. Il m'a cependant fallu cinq ans pour obtenir mon diplôme, et au moins autant de temps pour réussir à devenir psychiatre en chef à Arkham.

Il observa un moment la jeune femme, puis ajouta :

tu serais très belle, en habit d'infirmière. Si tu n'aime pas les longues études, je te conseil de te contenter de ça, mais après, tu fais ce que tu veux...

Stéphanie alluma la télévision et zappa sur la chaînes des informations. Un présentateur en costume gris et aux dents brillante était en train de parler d'un de ses exploits... Jonathan se sentit tout à coup très gêné auprès de la jeune femme. En effet, il se souvenait du jour où il l'avait protégé, caché sous son costume...

marmonna la voie de l’Épouvantail dans sa tête.

pensa Jonathan à son adresse.

Jonathan se sentit tout à coup bouche bée par ce qu'il venait d'entendre dans sa tête... c'était vrai ! Stéphanie connaissait l'existence de sa poudre hallucinogène, il lui en avait montré un prototype quand ils étaient petits, et s'en était même servi devant-elle... la jeune blonde risquait d'être dangereuse, pour lui et son alter-égaux... non, le docteur Crane refusait de croire ça ! Si elle avait due faire le rapprochement entre l'Epouvantail et lui, elle l'aurait déjà fait, et de toute façon, il se refusait de la tuer sur une simple supposition... pour n'importe qui d'autre, il l'aurait fait, mais pas pour elle...

se contenta-t-il alors de penser à l'adresse de sa voie intérieure, qui parut outrée, mais n'essaya d'aller plus loin. Jonathan reporta alors à nouveau son attention sur la jeune fille, et lui donna la première réponse qui lui vint à l'esprit, afin de la rassurer et de changer de sujet en même-temps :

Je pense que si l’Épouvantail avait voulu te tuer, il l'aurait déjà fait. Il a dû vouloir te sauver, ce soir-là, parce qu'il passait par-là et qu'il te trouvait mignonne... de tout façon, qui ne te trouverait pas mignonne ?

Il lui accorda un sourire amical qu'il essaya de rendre le moins charmeur possible. Dans sa tête, l'esprit de son alter-égaux s'était endormi, lui laissant le total contrôle et la paix... Jonathan espérait qu'il pourrait toujours aussi bien le contrôler... jusque-là, ils n'avaient jamais été en désaccord.

Dehors, le soleil commençait à se coucher. Jonathan voulut proposer à Stéphanie de sortir, d'aller se promener, vu qu'ils avaient passés toute la journée enfermés dans son petit appartement. Il savait qu'elle sortait déjà avec quelqu'un d'autre, mais il osait croire que deux amis se baladant tranquillement côte à côte en discutant du bon vieux temps ne laisserait pas aller les choses plus loin... le jeune Crane devrait juste contrôler ses pulsions, ses émotions et ses sentiments. Il se demanda où ils pourraient bien allés... son esprit se tourna vers les champs de blés, où ils avaient eus leur premier baiser d'amoureux, mais il pensa que ce n'était pas une bonne idée : c'était aussi là que la mère Crane avait essayée d'assassiner la jeune femme et il avait peur que cela n'éveil plus de mauvais souvenirs que de bons... alors, il se contenta de lui proposer :

Tu veux qu'on aille prendre un peu l'air ? Vu comme le ciel est dégagé, la nuit sera sans doute magnifique si on va se balader dans le parc.

Les jours , les semaines passèrent à toute vitesse aux yeux des deux amis . Stephanie avait eu le coup de foudre le premier jour où elle avait retrouvé Jonathan mais elle allait se marier dans quelques mois . Sa relation avec Jonathan grandissait peu à peu les bisous sur la joue sur trouvèrent maintenant sur les lèvres , ils étaient aussi allé loin en dormant ensemble et passé de nuit torride ensemble , la jeune femme n'en avait pas parler à Harry malgré que le jeune homme lui reprochait d'être moin présente , qu'elle était distante ces temps ci et qu'elle se fichait des préparatifs de mariage ! Harry Osborn l'avait démollie le jour où elle avait accompagné Jonathan au tribunal et qu'elle avait osé l'embrasser devant ses propres yeux . Son fiancé voulait sauver leurs amours et mariage , Stephanie était d'accord mais son attirance grandissante envers son meilleur ami d'enfance l'empêcha une fois de plus d'être présence à la demeure de Harry .

Aujourd'hui , Stephanie avait décidé de rester chez le jeune homme , sur le canapé elle ne pouvait s'empêcher de le serrer dans ses bras et de l'embrasser tendrement . Ils passèrents de longues heures ensemble en oubliant même de dîner ! Les deux jeunes gens s'endormèrent dans le même lit , Stephanie se colla contre lit en déboutonant sa chemise de pyjama pour ensuite caréssé son torse nu poilue sexy malgré l'absence de muscles , Stephanie leva les couvertures et comme il fesait une chaleur épouvantable dans la pièce , elle se déshabillia entièrement sous les yeux de Jonathan qui n'avait surement pas encore prit l'habitude de voir une femme entièrement nu face à lui . De nouveaux dans les couvertures , elle se blotit de nouveaux dans ses bras en caréssent de nouveaux son torse nu . La jeune femme lisa quelques lignes de son livre et elle ôta les lunetes de Jonathan posait sur son nez et les déposas sur la table de chevet et elle éteignia la lumière . Stephanie se sentit bien dans les bras du Docteur Crane , son coeur avait changait d'avis , elle aimait Jonathan , croyant que son amour avec Harry était indestructible eh bien ... elle s'était trompé car en face de Jonathan son coeur fondait comme glaçe au soleil . La jeune femme caréssa la joue froide de Jonathan , enroulant ses bras autour de son cou et le serrent fort contre sa poitrine . Elle avait envie de lui , de lui faire une nouvelle fois l'amour pour la deuxième fois , trahir Harry .

-Je t'aime lui murmura t'elle dans l'oreille . J'ai envie de faire l'amour Jonathan ! Tu es pas trop fatigué ?

Le couple finissèrent une seconde fois par se faire l'amour dans le noir . Le lendemain , Assise sur la table de la cuisine , Stephanie songea à se qui s'était passé hier soir et pour la première fois Jonathan s'était levé plus tard que d'habitude . Quand il s'installa en face d'elle , Stephanie lui prépara le déjeuner : bol de céréale trempé dans du lait accompagné d'un kiwi et d'un chocolat chaud . Dent posa le petit déjeuner devant lui sens oublier le bisou du matin comme un véritable couple . Stephanie se remit à sa place et prit la parole :

-Tu sais depuis quelques temps on n'est très proche ! Entre nous se n'était pas que de la simple amitié mais de l'amour ... intense , tu m'a prit le coeur dès qu'on sait retrouver

Stephanie lui prit la main gauche entre ses mains en le regardent dans les yeux :

-Je crois que ... je me suis rendue compte que mon amour avec Harry n'était pas si indestructible que sa ! Je voudrait qu'on aille le voir ce soir pour tout lui expliquer et mettre les choses au clair qu'en pense tu ?

HJ : J'espère que je suis pas allé trop vite !

[Bah, en même temps, si on ne passait pas d'un épisode à l'autre de cette façon, on en serait encore au même point à noël de l'année prochaine x) ]

Les jours qui passaient aux côtés de Stéphanie étaient devenus les plus merveilleux du mondes aux yeux du jeune psychiatre Jonathan Crane, à tel point qu'il devint plus agréable, moins froid et distant envers ses collègues de travail à l'asile d'Arkham et un peu moins cruel envers les patients qu'il étudiait en secret, et qu'il se montrait même moins présent dans son rôle de criminel, qu'il mettait moins souvent son costume de l'Epouvantail, ce qui ne manquait pas d'attiser la colère de Falconé, avec qui il avait passé un contrat verbal pour l'aider dans certains de ses coups, et de son alter-égaux, qu'il sentait bouillir de rage en lui... mais jusqu'ici, il avait été capable de calmer les choses et de contrôler ses envies de meurtre. Depuis que cette femme était de retour de sa vie, il était devenu de plus en plus heureux, et même si il n'était que son amant, elle semblait agir sur lui tel un antivirus... petit à petit, elle arrivait presque à le transformer en une "personne honnête", si on pouvait dire ça comme-ça, car même si il passait maintenant le plus clair de son temps avec elle, quand elle n'était pas présente, il laissait malgré-tout son côté Épouvantail reprendre le dessus et s'amuser à ses expériences.

Cependant, il ressentait toujours un terrible pincement au coeur en songeant qu'elle allait bientôt se marier avec ce Harry Osborn... même si ils continuaient à se voir par la suite, même si elle continuait à tromper son mari avec lui comme ils l'avaient fait durant la nuit de la veuille, cette vérité ne serait jamais cachée : elle allait se marier avec un autre homme, le mariage, la plus grande preuve d'amour que l'on puisse imaginer faire à quelqu'un, et ce mariage, ce ne serait pas avec lui, l'homme qui pourtant l'aimait plus que n'importe qui d'autre pouvait aimer une personne, l'homme qui était près à tout sacrifier, pour elle, même ce qu'il était en réalité, au fond de lui. Savoir cela le rendait dépréssif dans les moments où il était seul, il en avait même pleuré, trois jours plus tôt, quand Stéphanie était retournée dormir chez son fiancé pour ne pas à nouveau éveiller ses soupsons... cependant, il faisait de son mieux pour ne pas le montrer à la jeune femme, profitant le plus possible des moments passés avec elle, et même en pensant à cela, lorsqu'elle lui mit son petit-déjeuner devant le nez, il réussit à lui sourire et à lui dire un merci aussi naturel que possible.

Il était en train de manger son kiwi quand elle lui prit la main et lui annonça la nouvelle qui fit fondre son coeur dans une sansation de chaleur agréable... elle voulait réellement quitter Harry Osborn pour venir avec lui ! Il se retint avec grandes peines de ne pas se lever, la prendre dans ses bras et hurler comme un fou en tournant dans tous son appartement... lui était ravi de la nouvelle, et il savait que la femme de sa vie devait l'être aussi, cependant elle la connaissait comme étant une femme douce et attentionnée, qui devait quand-même avoir un peu de tristesse pour ce "pauvre Harry", et pour ne pas la choqué, il décida de parraître de-même... cependant il ne cacha pas un grand sourire de joie, tendis que son coeur s'emballait, et qu'il prenait les deux mains de Stéphanie dans les siennes, ne les serrant pas trop fort pour ne pas lui faire mal, mais quand-même un peu, car il avait peur d'apprendre que tout-ça n'était qu'un rêve, ou qu'elle ne change d'avis et qu'elle s'en aille...

Depuis que je t'ai retrouvé, Stéphanie,

lui dit-il d'une voie enrouée par l'émotion,

ma vie est devenue aussi belle... non, elle est encore plus belle que le jour où tu as acceptée de devenir mon amie, lorsque je n'avais que onze ans, et que je passais mon temps seul. Mon amour pour toi est tellement grand que mon coeur pourrait en exploser à tout-moment. Je t'accompagnerais donc, dès ce soir, parler à Harry... je me doute que les choses risquent d'être difficile pour toi, donc si tu le souhaite, ce sera moi qui parlerais...

Chuchota la voie sifflante de l'Epouvantail à son oreille

et à cette idée, le côté maléfique de Jonathan eu un petit sourire cruel à l'intérieur de lui, tendis que le corps de celui-ci prenait dans ses bras la femme de sa vie et l'embrassait avec passion...

La journée passa entre les deux amants, ressemblant à toutes les autres, sauf qu'en plus il y avait au dessus de leur tête le nuage sombre de la pression à l'idée de ce qu'il risquait de se passer ce soir, lorsqu'ils iraient tout les deux parler au futur ex-fiancé de la belle blonde. Jonathan était dans sa chambre, en train de se préparer. Le docteur Crane avait la manie de toujours s'habiller en costume-cravate, même lorsqu'il ne travaillait, et résultat, il n'avait que ça dans sa garde-robe... mais il ne savait pas pourquoi, ce genre d'accoutrement, il ne le sentait pas pour ce soir-là... alors il se mit un vieux jean qu'il retrouva dans son placart avec une chemise blanche, se disant que ça ferait déjà plus décontracté. Il avait également déjà commencé à enfiler son bracelet métallique injecteur de gaz hallucinogène, seulement au cas où les choses déraperaient... mais tout à coup, il sentit le doute s’immiscer en lui : était-ce une bonne idée ? Il observa une photo posée sur sa table de nuit... elle les représentait, Stéphanie et lui, dans le parc de Gotham... Stéphanie et lui, pas l’Épouvantail.

Si il gazait son fiancé, il avait peur que la jeune femme ne voit en lui le monstre qui sommeillait, et qu'elle le fuit... non, il ne voulait pas prendre ce risque ! Cette situation, ce serait Jonathan Crane, qui s'en occuperait, et personne d'autre ! Il rangea donc son arme au grand damne de l’Épouvantail et sortit de la chambre pour rejoindre Stéphanie. Il lui fit un sourire se voulant rassurant, et lui dit :

C'est bon, nous pouvons y aller.

Il l'observa un moment, puis ajouta :

enfin, si tu en as envie. Mais si tu ne te sens pas prête, on peut reporter...

Stephanie Dent sortait enfin de la salle de bain , habillé avec une robe courte de couleur gris doré avec un noeau de papillion aux mileux de son vêtement . La jeune femme se blotissa dans les bras de Jonathan pendant quelques minutes en le serrent fort contre elle et en l'embrassent tendrement dans le cou , elle releva la tête et murmura doucement à son oreille :

-Je me demande comment en fait les autres femmes pour te résister !

Stephanie se détacha de ses bras c'été fois si en l'embrassant sur les lévres charnues et humide de son petit homme qu'elle aimait plus que tout . Elle se semblait pas angoisser , stresser pour son rendez vous avec Harry Osborn , son coeur avait sucomber aux charmes au Docteur Crane , le psychiatre le plus respecté de la ville . Les deux jeunes gens quittèrent l'appartement de Jonathan pour se rendre en voiture au restaurant proposé par Harry .

Harry ne se doutait certainement pas qu'elle l'avait trompé , Harry était fou amoureux d'elle , comment allé t'il réagir ? Bref ... arrivée devant le restaurant , Stephanie vu par la fenêtre Harry installait devant la fenêtre qui lisait le menu pour s'occuper . La jeune femme serra fortement la main de son futur petit ami . Dans le restaurant , Harry se leva pour poser ses lèvres contre celles de Stephanie mais la jeune femme le repoussa doucement , il ne semblait pas comprendre même lorsque il serra la main du Docteur Crane :

-Vous être le Docteur Crane , le célébre psychiatre et directeur de l'asile ? Ravi de faire votre connaisance ! dit t'il souriant

Stephanie n'avait pas du tout l'intention que son fiancé fasse connaisance avec Jonathan car quand il apprendra la vérité sur leurs relations , il détestera le Docteur Crane d'avoir arraché la femme de sa vie , son oxygène pour lui . Stephanie prit la main de Jonathan sous la table en le regardant tendrement puis elle tourna son regard vers celui de Harry :

-Ecoute , on voulait te voir car nous avons une chose à te dire

-Très bien dit moi ! soupira Harry

-Je .... le Docteur Crane et moi , nous ... nous aimons ! Je suis tombé amoureuse de lui ! Depuis qu'il est rentrée dans ma vie , tout à chamboulé mon coeur ! Et je voudrais annulé notre mariage et briser nos fiançaille pour que je me mette en couple avec lui !

Harry resta sens voix , bouche bée , son regard avait changé envers Jonathan , un homme qu'il respecté et qui désormais il déteste dans son regard on lisait qu'il avait envie de lui sauter à la gorge pour l'étrangler et prendre de force Stephanie .

-Q... quoi ? Toi avec lui ? Mais pourquoi ? On s'aimait tout les deux ! On est indestructible comme tu dit !

Stephanie baissa les yeux pour la première fois de la soirée , oui leurs couples étaient magique , fort mais Jonathan lui a prouvé que sa place n'était pas avec Harry peut être que le Docteur Crane était sa véritable âme soeur .

-Tu as pensser à notre fils ? Mathéo hein ? Comment il va réagir quand il va apprendre la nouvelle ?

La jeune femme avait maintenant le coeur qui battait à cent à l'heure , l'envie de pleurer aussi , elle avait envie de se jeter dans les bras de son voisin d'a côté et de pleurer jusqu'a mouillé sa chemise , elle serra plus fort la main de Jonathan sous la table elle y rentra ses ongles aussi parfois pour contrôler sa tristesse et colère .

-Harry et moi avons eu un bébé Jonathan avant que tu ne rentre dans ma vie ... je ... voulais pas de le dire pour tout gacher ... si seulement je pouvais retourner en arrière !

Sujet: Re: Destin difficile ( PV Jonathan Crane

» Pour le meilleur et pour le pire, par amour pour toi, je te serais fidèle... ma Reine Rouge [Mariage de Stéphanie Dent et Jonathan Crane, ouvert à tous]

Destin difficile ( PV Jonathan Crane

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