Un invité plutôt animal [ Privé : Roxane + Libre]

Le parc d'attraction était autrefois une banalité de détente pour de nombreuses familles mais, maintenant, passa d'un état jovial à un état sauvage. Cependant, le Chapelier avait pour projet de le modifier en sa manière. Depuis deux semaines, des travaux ont étaient mis en places pour avoir la capacité de le bâtir en un plus sublime des Wonderlands. Bien entendu, Jervis avait une idée derrière la tête. Pour ne pas se faire repérer par la police ni de se faire enquiquiner par Batman, il avait le don de trouver une autre méthode pour pouvoir continuer à poursuivre ses ambitions sans le moindre dérangement d'autrui. Au lieu d'utiliser des cartes électromagnétiques qui n'étaient pas très efficaces et bien trop voyants d'après lui. Il avait donc décidé de créer une poudre de la même sorte que ses cartes seulement, il les transmettait dans des boîtes à biscuits, des friandises, des boissons etc. Qui sont transférés dans des supermarchés. C'est grâce à cela que certains individus achetèrent ces biens mais malheureusement pour eux, ils se sont fait prendre par Mad Hatter. Maintenant devenant ses pantins, ils avaient pour ordre de refondre le parc d'attraction acquérant à un rayonnant pays des merveilles. Bien sûr, le maire même s'était fait piégé par le fait d'acheter sans exception ses biens et néanmoins de le consommer. Ce soir-là, il était 18 heures. Le plombe d'aller prendre un bon goûter entre compagnie. Jervis, accompagné de ses amis le lièvre de mars ainsi que du chat de cheshire préparèrent le thé et assortis de bons cupcakes. Ils s'installèrent par la suite à leurs places. En revanche, mal grès une décoration éclatante, le Chapelier s'ennuya quelque peu. Comme si dans cette pièce il manquait quelque chose ou bien quelqu'un. Était-ce comme par évidence sa douce Alice. Une poupée parfaite pour remplir le bonheur de son royaume. Hélas, il n'y aura jamais une occasion comme celle-ci car, Alice ne viendra jamais.

• Que c'est dommage... Un Wonderland sans ma Alice n'est pas un monde enchanté... Haa Alice without you I'm not in a wonderful world.

Les compagnes de ce dernier le rassurèrent d'un simple coup de tête. Jervis était à moitié perdu déraisonné en lui. Il ne pouvait même goûter par le bout de ses lèvres le parfum d'un biscuit au chocolat. Soudain, à quelques mètres du coin, on entendit des pas... Ce ne sont pas des pas humain mais, plutôt animal. Qu'est-ce que ça pourrait être ? On aperçoit subitement quelque chose bougée entre les buissons. Le Chapelier curieux, se pencha vers l'avant en fixant au loin les buissons d'où l'animal y était. Et quand les camarades découvrirent une tête d'un renard ou plutôt d'une renarde sortir entre les herbes, ils firent des sursauts d'étonnements sauf le Chapelier qui resta flegme. Dès que la renarde sortie de l'ombre, la magnifique fourrure de cet animal fascinait intensément le blond. Il l'observa de tous les angles d'un regard captiver. Puis, il siffla après ses comparses sans quitter la renarde des yeux.

• J'ai l'impression que notre cher monde attire beaucoup de choses surtout... De très belles choses et cela tombe bien, l'hiver approche et.. Ce soir est une bonne occasion, j'adore les surprises fondé par le seigneur. Mes amis, vous savez ce qui vous reste à faire ?

Sans faire faux bon, le lièvre de mars et le chat de cheshire exécutèrent aux ordres de leurs maîtres. Le lièvre, étant un homme déguisé piétina posément de la renarde en chuchotant tout bas << Petit petit ne bouge surtout pas on ne te fera pas de mal >>. Tandis que le Chat s'agrippa à un arbre du haut de la renarde pour être prêt à lui sauter dessus au cas où la bestiole s'échappa sur place. Jervis ramassa un couteau auquel il demeurait sur la table et se rapprocha de la bête rousse du côté de son complice << le lièvre >>. Il glissa un sourire des plus tortionnaire.

• Allons petit animal, tu ne vas tout de même pas fuir sans prendre une tasse avec nous ? Ou devrais-je dire, sans te faire prendre par la fourrure !

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[HRPG : Voilà j'espère que ce n'est pas trop bad xD ]

Ça faisait trois jours que la jeune Roxane n'avait pas réussie à trouver quoi que ce soit à se mettre sous le croc... a croire que les humains avaient décidés de rendre la vie plus dure qu'elle ne l'était déjà aux animaux sauvages qui erraient dans les rues de Gotham City ! Chaque fois qu'elle s'était approchée d'une poubelle pour la fouiller, il y avait eu un homme travaillant dans le bâtiment d'à côté, une bande de jeune qui passaient dans le coin ou même le camion de la fourrière qui s'amenait et la forçait à fuir. Elle dut esquiver différents projectile... des coups de pieds, des canettes, des bombes de peintures... même un couteau, à un moment. Peut être qu'elle n'avait tout simplement pas eue de chance. Même la chasse aux rats n'avait rien donnée... le maire de la ville avait promis à ses électeurs de les débarrasser de la vermines, et en parlant de ça, il ne s'adressait pas uniquement aux criminels. De la mort aux rats avait été disséminée dans les égouts, rendant cette nourriture particulièrement dangereuse... fin bref, avec tout-ça, le jeune renarde avait horriblement faim, et cela la poussa à visiter la ville bien plus loin que ce qu'elle faisait d'habitude...

Alors que le soir commençait à tomber et que les travailleurs rentraient chez-eux, un moment où les gents étaient si fatigués et la circulation si dense qu'on ne faisait jamais vraiment attention à elle et qu'on la prenait même parfois pour un petit chien, Roxane traversa quelques rues sombres presque désertes et pénétra par un trou creusé sous le grillage... ce n'était pas elle qui l'avait fait, mais il tombait à pic, elle n'aurait pas à se fatiguer... dans l'ancien parc d'attraction, abandonné depuis un moment. Elle espérait y trouver dans les vieux stands qui vendaient de la nourriture n'importe quoi qui pourrait lui remplir le ventre... des vieilles saucisses de hot-dog, des miettes de bredzelles, même un bâtonnet couvert de morceaux de barbe-à-papa ferait l'affaire pour elle, tellement elle avait faim. Mais au final, elle ne trouva rien de tout-ça, l'endroit avait été nettoyé, et elle dut se contenté d'une simple peau de banane qui traînait par-terre... mais au fond, c'était mieux que rien, et elle n'allait pas commencée à faire la difficile.

Toute en mastiquant la peau caoutchouteuse, cachée dans des buissons, la petite bête rousse observa les alentours... ça semblait être en travaux, de toute évidence, des rénovations y avaient commençaient... génial, encore un endroit qui n'allait pas tarder à grouiller d'humains, même la nuit, et où elle ne pourrait plus venir. Des éclats de vois retentirent un peu plus loin... la renarde tourna dans cette direction un museau étonné... il y avait encore des humains, ici, à cette heure-ci ?

Ne laissant derrière-elle que la queue de sa peau de banane qu'elle n'avait malgré la faim pas eut le courage de tenter d'avaler... elle savait que son estomac ne le digérerait pas, et ça, c'était dû à l'instinct, pas aux informations qu'elle avait pue enregistrer dans son cerveau à Wayne Industrie... elle se dirigea vers les voies, restant cachée dans les buissons qui bordaient les chemins du parce d'attraction, poussait par sa curiosité naturelle. Elle arriva alors devant une scène assez particulière... assis à une grande table au milieu d'une décoration faisant penser à une forêt de conte de fée, un petit homme avec un énorme chapeau sur la tête était en train de prendre le thé avec deux de ses semblables, l'un habillé en lapin aux yeux complètement fous, et l'autre en un gros chat rose avec un sourire qui lui faisait froid dans le dos. Là, en revanche, les connaissance qu'elle avait obtenue depuis son accident lui furent utiles... elle sut, sans trop savoir comment, qu'elle avait à faire à Jervis Tetch, un des criminels notoire de Gotham, mieux connu sous le nom du Chapelier Fou.

Se disant qu'il vallait mieux qu'elle ne se fasse pas remarquer par un fou, surtout que celui-ci semblait l'avoir entendu et qu'il se levait pour aller la chercher, elle décida de rebrousser chemin en silence et d'aller chercher de la nourriture ailleurs... mais en voulant partir à reculons, elle se cogna contre un des pieds du buisson, et le bruit attira les trois compères qui vinrent directement sur elle. Elle voulut s'enfuir, mais poussa un glapissement de douleur... les poils de sa queue touffue s'était emmeller dans une branche et il lui fallut un bon moment pour réussir à se la dépêtrer de là. Elle n'y arriva cependant pas avant qu'il ne soit trop-tard : le Chapelier et ses hommes venaient de la découvrir ! Une fois sa queue libérée, la bestiole voulut s'enfuir, mais elle était coincée ! Devant elle, il y avait le chef du trio qui s'approchait avec un gros couteau à la main, semblant décidé à se faire un jolie petit manteau en fourrure de renarde, accompagnait par le lièvre... quand au chat, il était passé par derrière et se tenait sur un arbre, prêt à lui sauter sur le poil si elle cherchait à s'enfuir par là.

Elle fut contrainte de sortir des buissons et se retrouva sur le chemin, encerclée, coincée par les murs sur les côtés. Roxane se serait volontiers donnée des gifles ! Elle venait de se faire piéger comme une vulgaire débutante du monde des humains, et elle n'avait aucune échappatoire ! L'homme en lièvre s'approchait d'elle en faisant des phrases du genre "Petit, petit, petit,...", comme si il croyait que ça allait la rassurer, et le Chapelier afficha un sourire sadique sous ses lèvres en la menaçant de son arme et par son humour sombre. La renarde recula de trois pas, et le chat se dressa un peu, près à bondir. Il fallait qu'elle trouve une solution ou elle était bonne pour passer le reste de son existence autour des épaules d'un malade ! Elle savait que grogner et mordre ne changerait rien... alors elle sut qu'elle n'avait pas le choix : elle devait parler ! Elle devait entrer dans le petit monde imaginaire du Chapelier Fou et essayer de gagner du temps, jusqu'à ce qu'elle trouve un moyen de s'échapper. Elle savait que monsieur Tetch était un génie chez ceux de son espèce, mais elle espérait quand-même pouvoir le faire tomber dans une de ses ruses de renard.

Alors elle leva face aux deux hommes une de ses patte-avant, comme pour leur demander de s'arrêter, comme pour essayer de calmer le jeu, et ouvrit le museau pour leur dire :

Franchement, Chapelier, je trouve que vous manquez de politesse...

d'habitude, elle ne vouvoyait jamais personne, mais là, c'était un cas de force majeure.

Vous voulez me dépouiller une dame comme moi de son bien le plus précieux sans même m'offrir une tasse de thé avant, pour discuter tranquillement de son prix ? J'avais entendu dire de vous que vous étiez un gentleman...

Jervis était à deux doigts de pointer son couteau sous la gorge de la renarde afin de la lui trancher très doucement. C'était cruel, certainement, d'après ce que disait son médecin << Monsieur Blackloch >>, celui qui avait réussi à en connaitre le plus d'information possible à la mesure de Tetch, que ce dernier avait de l'obsession délirant pouvant l'atteindre à de la barbarie la plus farouche du simple fait, qu'il aimait les supplices mais, de façon à qu'ils soient paisible et tendre. Le Chapelier Fou poussa un petit rire folâtre et se baissa mollement voulant être à l'effet de la même hauteur que l'animal mais, cette dernière, avait tendance à lever l'une de ses deux pattes en avant comme si elle allait leur stopper. Jervis abaissa son poignard et afficha un visage froissé à l'extravagante posture de la bête. Le lièvre cessa sa piétine. << Quel étrange façon de poser >>. Pensa-t-il. Tout à coup, la renarde ouvrit son museau, croyant qu'elle allait aboyée mais, non... On entendit dans le fond de son museau, des paroles. Elle s'adressait de plus au Chapelier Fou, disant qu'il lui manquait de politesse et en lui répondant par la suite. D'ailleurs, elle lui avait même vouvoyé. Les trois compagnons s'échangèrent les propos en se questionnant soit disant s'ils avaient bien entendu ce qu'ils avaient vu, Si ce n'était pas un simple sonore hallucinatoire ? En même temps comment connaissait-elle le surnom du dénommer Chapelier ? Ah mais, oui c'est évident << les journaux >>. Les renards, sa traine parfois dans les rues et dans les rues on en trouve tous les jours de vieux journaux dans les poubelles ou dans n'importe quels coins désertés. Bref les trios écarquillèrent les yeux envers la renarde. Le lièvre recula de deux pas avec une petite crainte en lui. Le Chat resta sur place du haut de l'arbre mais, toujours avec un air étonner. Quant à Tetch, il était au début bigrement estomaquer naturellement mais, par contre, il se rassasiait ultérieurement car, ce n'était pas non plus pour lui déplaire malgré lui, en revanche, le Chapelier garda son regard d'effarement.

• Chapelier, l'aviez-vous entendu ? Cette renarde là, elle... Elle parle ! Bégaya le lièvre en s'éloignant de la bestiole.

Certainement qu'il avait entendu, quel idiot, Tetch enroula ses yeux vers le haut après les dis aussi bornés de son complice. Logiquement, ce curieux passage n'avait pas une allure si réel. Jervis croyait un instant s'il n'avait pas eu effet de sa fameuse poudre mais, pas du tout. Il les avait déjà tout vidés il n'en restait plus une seule miette en sa conquête. Mais alors, Cette renarde pouvait communiquer avec les humains ? Si tel était le cas alors... Ce n'était pas effrayant au contraire mais, déconcertant avec conjointement de la jouissance. On consistait a quelque chose d'excessivement plus miraculeuse ou plutôt, comment dire ? Fulgurante, flamboyante ou bien << remarquablement fantastique >>. Jervis s'agenouilla face à la créature avec une petite contradiction et sans cligner des yeux, il posa le côté de sa lame de couteau au dos de celle-ci en la caressant. Sans remarquer la réalité, cette possibilité s'offrant à lui, étala par un enchainement, une très grande joie. Qu'il remercie celui qui avait créé l'animal parlant. Mais encore, il avait quand même peur si c'était toujours qu'un simple rêve contradictoire.. Il aurait préféré ne plus jamais se réveiller puisque, Jervis resta toujours dans sa mentalité d'enfant. Mais pour l'instant, face à la renarde, il n'avait plus les mots, ne savant toujours pas quoi dire, ses mots se bloquèrent au milieu de sa buste. Il était barrer car, il y avait de la surprise et du contentement qu'en fait, les animaux parlant. C'était merveilleux.

• Mais... Qu'est-ce que tu es au-juste ?

Beaucoup de questions se résonnèrent, il y avait énormément de questions qui circulaient aux alentours de ses cellules nerveuses que le blond les cracha n'importe comment ne donnant aucun sens compréhensible. Sachant que, c'était la première fois qu'il s'agitait de cette manière. Il ne fallait pas, non surtout pas que l'animal s'en aille, cette renarde était très singulier. Jervis posa le couteau au sol pour ne plus effrayer la bête. Cela adoucirait cette circonstance. Il ne voulait pas non plus gâcher son image. L'être calme et paisible. Le blond exposa inopinément un sourire des plus narquois. << Du calme Jervis, si cette renarde peut communiquer avec les humains elle doit certainement venir du monde irréel ou du moins qu'on puisse le dire, de mon monde >>. Pensa-t-il. Bien sûr, un animal parlant décorerait bien l'univers du Chapelier Fou. Mais oui, excitant à y croire, il serait nécessaire de la retenir à la volonté de cette dernière. Il exhiba un aspect imparfaitement attristé et fini par assortir un sourire faussement timide. Puisque les renardes sont parfois sauvages, même très méfiantes envers les hommes mais celle-là ne doit pas se charger à s'esquiver. Tour à tour de l'abstraction, il fallait la capturer. Elle serait plus utile que les autres incapables de marionnettes, de simples pantins sans âmes qui sont malheureusement très ennuyeux. Tandis que la renarde pourra non seulement communiquer mais, en plus c'est une être que tous enfants rêvant d'en désirer... Un renard c'est mignon non ? Quelle idée amusante, elle pourra même entrainer toutes ces mômes à la table accompagné du Lièvre de Mars, du chat de Cheshire, du lapin blanc et du Loire. Et voilà que le Chapelier avait aussi une autre arrière penser pouvant faire revenir sa bien aimée la charmante Alice de la sorte à qu'elle soit fascinée par cette fantaisie et que finalement, le pays des merveilles soit au complet divin, que sa cour s'agrandira. Mais, parler trop vite ne servait à rien, en attendant, Jervis baissa son regard jouant à vouloir s'excuser et de s'en vouloir seulement, ceci n'est que dramatique.

• Je suis terriblement désolé pour mon comportement de tout à l'heure.... Vois-tu, ta fourrure, elle est d'une beauté somptueuse et tout aussi admirable que cela m'avait beaucoup attiré mais, dis-moi, d'où vient cette magnifique créature mystérieuse face à moi ? Dit-il de ses yeux ruser et clément à la fois.

Le couteau à la lame scintillante d'une lueur argentée sous les rayons de la lune s'immobilisa à quelques centimètres de sa gorge, et Roxane faillit pousser un long soupir de soulagement... elle avait réussie ce qu'elle avait espérait faire en parlant au Chapelier Fou et à ses hommes : elle les avait tellement étonnée qu'ils s'étaient arrêtés dans leur élan, lui laissant ainsi un peu de répit, alors il ne fallait surtout pas que la renarde se laisse aller à ce genre de démonstration qui risquerait sur le moment de les froisser. Elle avait même réussie à faire reculer l'homme habillé en lapin de quelques pas, effrayé par une bestiole qui lui arrivée à peine aux mollets. Elle fut tentée sur le moment de tout-de-suite partir en courant, espérant que le chat serait assez estomaquer pour oublier de lui sauter dessus... cependant, le Jervis était toujours en face d'elle, son arme toujours pointé dans sa direction, alors faire une tentative tout-de-suite serait dangereux. Roxane devait se montrer rusée, elle devait attendre le bon moment...

Alors elle continua à jouer le jeu, à entrer dans le petit monde loufoque d'Alice au Pays des Merveilles que cet homme s'était créé à l'intérieur de sa bulle. Elle savait qu'elle aurait une chance de s'en sortir si jamais elle réussissait à gagner sa confiance. Jervis Tetch avait l'air fasciné par elle, mais il finit par lever à nouveau son couteau... Roxane frissonna lorsque le côté non-tranchant de la lame se posa sur son dos. Pendant un moment, elle crut sa dernière heure arrivée... mais il se contenta de la caresser ainsi, avec le morceau de métal froid. La rouquine tremblait un peu... très honnêtement, elle aurait préférée qu'il fasse ça avec la main. Elle avait l'impression de se faire tailler à chaque passage de la lame sur son pelage orange. Puis le comportement du deux-pattes changea du tout au tout...

La renarde fut rassurée de le voir poser son arme par-terre... déjà, elle commença à se détendre, et encore plus lorsqu'il s'installa sur le sol pour être à peu près à sa hauteur. Elle savait qu'elle n'était pas encore sortie de ce pétrin dans lequel elle s'était fourrée, mais le Chapelier Fou semblait avoir abandonné l'idée de faire d'elle un vêtement, se sentant tout simplement intéressé par la créature. Enfin, c'est ce qu'elle crut comprendre... Jervis s'excusa de ce qu'il s'était passé, et il voulait savoir d'où elle venait. Roxane se demanda sur le moment quel était le mieux... donner une réponse fantaisiste qui plairait à l'esprit enfantin de l'humain ou lui dire la vérité. Monsieur Tetch était fou, mais il n'en restait pas moins un génie dans son domaine, un homme très intelligent... alors elle décida de lui répondre sincèrement, songeant qu'il risquait de le sentir et de se vexer si elle lui disait des bêtises et que raconter son histoire lui permettrait d'occuper le Chapelier et d'étudier un peu ses points faibles en entendant qu'elle puisse se sauver...

Je vous en pris, Chapelier, ce n'est pas grave,

lui dit-elle en s'assayant devant Jervis, essayant de faire mine d'être complètement détendu, mais les hommes habillés en animaux et le couteau qui était à côté d'elle la mettaient quand-même mal à l'aise.

Et bien, d'où je viens, c'est assez simple, en faite... je viens de la décharge publique de Gotham. Je suis entrée en contact avec quelques produits chimiques alors que je fouillais les poubelles de Wayne Industrie, il y a un an, environ, ce qui m'as fait muté et m'a donné ma capacité de communiquer, et, sans vouloir me vanter, une assez grande intelligence. Merci pour vos compliments sur ma fourrure, mais, très honnêtement, vous auriez eu tord de la prendre pour en faire un manteau, car je suis couverte de puces...

comme pour illustrer ses dires, elle se gratta derrière l'oreille droite avec sa patte arrière...

vous auriez dû payer une fortune rien que pour la laver.

[Désolée que ça fasse court et si ça manque un peu d'imagination, j'ai eue une terrible panne d'inspiration]

La renarde ne se troubler pas d'aller s'asseoir auprès du blondinet. Elle avait l'air entièrement détendu. Probablement parce qu'elle doit paraître soulager que ces individus ici présents ne lui auraient plus menacés. Tout cela était satisfait dans ce cas, à la suite de la question de Jervis affirmant << d'où venait-elle >>, d'après ce que l'animal lui répondait, elle était issue de la décharge publique de Gotham. Ce qui était assez légitime pour ce type d'espèce. Mais, la révélation qui avait été le plus ébouriffer, était son incident en entrant contact avec quelques produits chimiques alors que la pauvre bête fouillait les poubelles. Surtout que ces poubelles venaient de << Wayne Industrie >>. Quelle histoire déprimante. Par ailleurs, la chance tournait dans l'implication particulièrement de ce genre de << Produit chimique >>. Tetch aimerait un jour, avoir plus d'information de ce produit chimique. Si cette bestiole pouvait communiquer avec les humains grâce à ça, peut-être que cela marcherait avec d'autres animaux ? Mais oui, oh que cette soirée est tellement féérique. En faveur de ce produit chimique, on pourrait plongé ces chers animaux incarner dans le roman de Lewis. Bien pour cela, il n'y avait aucun problème, mais pour le moment, il fallait en savoir plus sur l'accrochage de cette renarde. << Si cela pourrait marcher sur d'autres espèces ? >>. D'une manière provisoire, il aurait opter sur chacun de ses projets en les classant chronologiquement.

• Ne t'en fais pas, je n'allais tout de même pas te trucider avant de pouvoir me faire un plaisir à te prendre tel qu'une invitée particulière. De toute manière, tu es bien trop coquette pour te faire trancher la gorge.. Mais, soit, changeons de sujet. Concernant ton accident en relation avec les produits chimiques, je voudrais savoir, comment avais-tu réagis une fois sortie de ce liquide ? Enfin ce que je voulais dire si tu ne te sentais pas un peu étrange en parlant d'une autre façon c'est-a-dire << Humainement >>.

C'était pourtant simple, le Chapelier avait besoin d'instruire cette remarque du comportement prémices entre cette jeune renarde. Il était convenable de faire pousser les choses au plus vite. Tout d'abord, d'avoir les informations à l'obstacle de cette créature rousse, ensuite, chaparder des animaux venant d'un parc forestier et les projeter dans ces produits chimiques au point de vue de leur faire purger à la même rencontre que cette renarde. Pendant ce temps, le lièvre s'apprêta à s'exécuter de la pièce mais l'homme au chapeau, arrivant à l'apercevoir, il l'envoya un << Hop hop hop ! Je ne t'ai jamais dis de te mettre en retrait à notre écart, donc maintenant tu viens ici avant que ça tourne mal ! >>. Le lièvre se cala expressément et s'accommoda à faire demi-tour pour accoster auprès de son Chef accompagné de l'Animal. Étant et en se tenant maintenant proche des deux, le Chapelier le faisait signe du doigt à s'approcher un peu plus vers lui. Le lièvre se baissa de plus en plus approximatif à la taille de Jervis et de la renarde assises. Et s'immobilisa constamment à s'accroupir face à son souverain quand... Le Chapelier agrippa brusquement l'un des << faux >> oreilles du lièvre et le traîna violemment à terre. Sans attendre, il prit le couteau au côté proche de lui et le plaça sous le cou de son compagnon. Quelques gouttes de sueurs glissèrent derrière le masque du lièvre se disant même, s'il allait lui couper la tête, il aurait préféré que la reine de cœur prendra cette relève. Le Chapelier se côtoya au voisinage de son allié en lui faisant messe basse à son oreille.

• Je n'aime pas, mais vraiment PAS-DU-TOUT qu'on quitte une table avant de ne pas avoir terminé notre belle collation. En forçant le couteau de plus en plus fort au cou du lièvre. Mais, hélas, une erreur n'est pas pardonnable même si elle serait dérisoire.

Au cortège de ses propos, Jervis trancha vivement d'une manière bourreau, le cou du pauvre partenaire. Une seconde après, le sang de ce dernier commençait à couler venant du long tracement coupé. L'homme Lièvre coupa le souffle en essayant de respirer mais, tout ce qu'on entend, n'était qu'un petit brise, sa voix entamait à disparaître et quelques secondes plus tard, l'homme ne bougeait et ne respirait plus. Voilà qu'à présent, le triste achèvement de sa subsistance est fait. Dommage que cet instant tombait sur le Lièvre de Mars. C'était un personnage bienfaisant mais, de toute façon, Jervis n'allait pas tarder à se débarrasser de tous ses sbires une fois que ses moments de plaisirs soient terminés. Tetch lâcha le corps sans vie du Lièvre de Loire et inséra son poignard dans l'une de ses poches de son manteau. Il se détourna ardemment envers l'Animal en transmettant un regard des plus céleste et en ignorant le cadavre du lièvre. Il toussota d'un ton forcé.

• Bon, et si nous continuons notre petit dialogue avec du thé et des biscuits ? Je t'invite à te joindre parmi nous. En obstination de ma curiosité, j'ai une question avant tout, je ne connais point ton nom. Comment t'appelles-tu jeune mammifère ?

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[HRPG : Mais non ton texte n'est pas court il est parfait =D j'adore la façon comment tu écris en revanche c'est plutôt sur moi que je me pose, désolé de mon poste aussi étriquer et pauvre >_<]

[Autant que tu trouves mon poste bien, je trouve moi aussi le tiens parfait ! Il va comme il faut avec ton personnage =D]

Le récit de Roxane sembla avoir suffisamment intrigué le Chapelier Fou pour qu'il abandonne complètement l'idée de faire d'elle un élément permanent de sa garde-robe... intérieurement, la renarde sourit... de toute façon, les museaux de ces animaux ne leur permettait pas de sourire en extérieur... elle avait réussie à sauver sa peau pour le moment, et si elle continuait sur cette voie, elle pensait qu'elle pourrait bientôt prendre la fuite. Il suffisait tout simplement qu'elle jouet les renardes de contes de fée assez longtemps... cependant, il y avait quand-même quelque-chose dans le comportement de monsieur Tetch qui l'intriguait... il n'avait pas seulement l'air curieux de son histoire, il semblait également en être intéressé, comme si il avait une idée derrière la tête. En avait-elle trop dit ? Bah, au fond, ce n'était pas vraiment son problème... du moment qu'elle survivait, le reste n'avait pas d’importance.

Le Chapelier voulait qu'elle lui explique les sençations qu'elle avait ressenti après sa mutation, à quel point elle s'était sentie différente. Roxane mit ses oreilles en arrière et pencha un peu la tête sur le côté, le museau pointé vers les étoiles... pour elle, c'était une façon de montrer qu'elle était en train de réfléchir, un peu comme un homme se gratterait le menton. A vrai dire, elle ne s'était jusque-là jamais vraiment posée la question, pour la simple et bonne raison qu'elle était un animal, et qu'elle vivait à l'instinct, qu'elle ne réfléchissait pas des plombs à savoir le pourquoi du comment des choses, elle prenait ces choses comme elles venaient et réagissait sur le moment, même si elle devait bien avouer que depuis qu'elle possédait le QI d'un ordinateur, elle comprenait les choses et réagissait bien mieux qu'avant...

Il est vrai qu'au tout début, les choses m'ont parus bizarre,

lui répondit-elle en toute honnêteté. Je pensais un peu différemment que quand j'étais un animal normal...

mais je m'y suis rapidement habituée. Comprenez que nous, les animaux sauvages, nous ne pouvons pas nous permettre de nous mettre à réfléchir aux choses qui nous arrives comme vous, les humains. Si on commençait à faire ça sans plus faire attention à ce qu'il se passait autour de nous, nous serions bon pour nous faire déchiqueter par une bande de chien, pour nous faire faucher par une voiture, ou de nous faire attraper par des chasseurs. Personnellement, je n'ai pas changer de vie et je suis toujours mes instincts animal, même si il est vrai que le fait d'être devenue aussi intelligente qu'un humain m'a permis de comprendre comment vous pensiez et m'a beaucoup aidé à survivre.

La suite des évènements, ce qui arriva au pauvre homme habillé en lapin, fit comprendre à la renarde qu'elle avait eue raison de vouloir temporiser... elle comprit que si par malheur elle tentait de s'en aller sans y avoir était invitée et qu'elle se faisait rattraper, se serait dans sa propre fourrure que la lame se planterait, la prochaine fois. Elle se demanda pendant un moment si ce n'était pas de sa faute... le deux-pattes avait montré dès le début une grande frayeur face à un animal qui était capable de parler, peut-être avait-il juste voulue s'éloigner... si c'était le cas, elle se sentait un peu triste pour-lui, bien-sûr, mais bon, elle n'allait pas en culpabilisé non-plus. Après-tout, c'était un humain qui avait tenté de l'écraser sous ses gros pieds qui était mort, maintenant...

La réaction de Roxane fut de se lever brusquement, un peu effrayée, lorsque Jervis trancha la gorge du son semblable... elle dut faire un sacré effort de volonté pour ne pas prendre ses pattes à son cou. Elle avait peur que si elle bougeait, le chef de la bande ne prenne ça pour une tentative de fuite, cependant elle se permit quand-même de faire juste un petit pas sur le côté, tout doucement, pour bien montrer qu'elle ne partait pas, pour éviter que le la marre de sang qui coulait vers elle ne vienne lui souiller les pattes... la renarde une prédatrice qui aimait le goût du sang et qui avait déjà tuée de nombreux rats, cependant ça n'avait jamais était au-delà, et elle ne tenait pas plus que ça à goûter à celui des hommes. Déjà parce que à l'odeur, ces mammifères sans fourrure ne semblaient pas particulièrement appétissant, et en plus, elle savait que si il se savait dans Gotham qu'un animal comme elle s'amusait à manger de la chaire humaine, elle serait traquée et abattue.

Ce qu'il venait de faire ne semblait pas plus que ça déranger le Chapelier qui proposa alors à Roxane de continuer la conversation devant une bonne tasse de thé et des petits biscuit. Elle aurait bien voulue pouvoir se défiler... l'homme avait rangé le couteau dans sa poche et voir le manche en dépasser n'était pas pour la rassurer. Cependant, elle n'était pas vraiment certaine d'avoir le choix, alors elle prit son courage à deux pattes et lui répondit :

B... bien-sûr, j'accepte l'invitation avec plaisir. En plus je m'excuse, c'est vrai que je me suis montrée malpolie, je sais qui vous êtes, et j'ai oublié de me présenter... je suis...

et elle poussa une petite série de grognement. Elle s'en rendit cependant tout de suite compte et posa une patte sur le bout de son museau :

oh pardon, je n'ai pas l'habitude de le prononcer dans votre langue... je crois qu'en langage humain, mon nom se traduirait comme étant Roxane.

Entendant que la renarde avait acceptée l'invitation de son patron, l'homme en chat avec son sourire effrayant, qui était jusque-là rester silencieusement dans son arbre, sauta souplement au sol et prit dans ses bras le petit animal, assez délicatement, mais elle se demanda si ce n'était pas seulement pour éviter de mettre son patron en colère et de finir comme son collègue. Il alla l'installée sur une des chaise à la grande table où attendait le thé, où Roxane dut se dresser un peu pour avoir le museau au niveau de la tasse devant son nez... pas très pratique pour lapée quelque gorgés, il fallait l'avouer... puis alla prendre sa place.

La renarde tenta de reprendre son air calme, mais ses yeux ambrés n'arrêtaient pas de loucher vers le manche du couteau qui dépassait de la poche du Chapelier... elle aurait très sincèrement préférée que cet arme soit hors de sa vue. Devant elle, la tasse fut remplie d'un liquide fumant, et un assiette avec quelque gâteaux sucrés fut installée... en voyant ça, la jeune femelle eut la salive qui lui monta aux babines et son ventre gargouilla...

Oups, pardon,

dit-elle, préférant se montrer le plus polie possible pour éviter de froisser son hôte, en posant une patte sur son ventre pour calmer les gargouillements.

Les temps sont durs pour les animaux sauvages, et j'avoue que je n'ai rien mangé d'autre qu'une peau de banane vide depuis ces trois derniers jours.

Une fois que la renarde acquiesça l'offre du Blondinet en s'excusant harmonieusement, l'homme au chapeau délégua un sourire épanoui. Qui ne pouvait pas refuser une telle offre du délectable Chapelier Fou ? Le jeune mammifère semblait même avoir très faim en contemplant son déficit pondéral. Pauvre petite bestiole, que diable aurait la prestigieuse en la laissant ruisseler dans la misère de la faim. Elle qui composait de même qu'un ravissant prénom collé du mot de << Roxane >>. Un prénom si pétillant ressemblant à une flamme de feu marquant la descendance d'un renard. Une fois que nom de cette jeune animale rousse avait été retenu spécifiquement, le Chat de Cheshire avec son plus grand sourire apeurant, dégringola jusqu'au pied de son arbre d'une tenue flexible et prit de ses membres la renarde finement à destination et joignait une chaise de façon à qu'elle soit installée dessus sans reproche. Même étant un animal, elle devait prendre le thé avec lui. Cela faisait depuis sa sortie d'Arkham que le Chapelier n'avait pas toujours reçu d'invités à sa table. Enfin à part ses camarades du Wonderland, aucun être n'avait voulu accepter de prendre infusion. D'autre part, cet animal avait de la spécialité aux yeux de Tetch. Savant communiquer avec les hommes et ayant une intelligence invraisemblable, le petit Blondinet avait qu'une envie.. << De la garder pour lui tout seul >>. Il la voulait à tout prix car, rien de quelque chose de plus funambulesque, la charge de ce mammifère devrait s'éterniser dans le pays des merveilles. Mais en pensant, il faudrait peut-être bricolé un magnifique collier pour cette chère Roxane. La bestiole avait un comportement provoqué par la faim en voyant une table abreuvait d'appétissantes boustifailles. Pour un animal, elle était aussi polie qu'un humain aristocrate, c'était toujours aussi secouant qu'en croyant être dans l'irréel. Tetch coulissa un fin sourire discret et démentiel. Il tapa des mains afin que quelqu'un apporte une serviette en guise de la mettre autour du cou de la renarde rousse. Le Chat de Cheshire serait pour ce soir-là, au service de l'invité animal.

• Qu'on lui apporte aussi des cookies et des galettes de beurres !

En faisant du tour à tour sans perdre de temps par l'impatience de Tetch, le Chat de Cheshire fournissait les petits plats de biscuits et de galettes régalant sur la table aux yeux de la jeune renarde. Quand au Chapelier Fou, il absorba sa tasse de thé en savourant son plus beau parfum aromatisé par sa noirceur. Il toucha par la pointure de son index le liquide de son thé, puis pompa le bout de son doigt, mais en connaissant de plus près, l'arrière goût de ce thé était amplement acide. En s'arrangeant à faire mine de reprendre la conversation fermement avec le petit animal, Jervis posa sa tasse à l'avant-garde de la table et s'accouda dessus en fixant la bête rousse. Son regard, toujours les plus dépravés, ricana tout bas de sa voix argentin. Son occasion se tenait en cette seconde c'était les animaux << des vrais >> à la tête de son monde merveilleux. Par tout bout de champ, il avait été convenu de bien caractériser les animaux du Wonderland. << Un lapin blanc, un lièvre, un Loire, un Chat.... >> Donc pour en revenir à la conversation de tout à l'heure..

• Autrement dit, revenons à nos précédent sujet. Je voudrais connaître un peu plus sur cette substance chimique dont tu as été victime. Je voudrais savoir, si cela aurait une chance de marcher avec d'autres sortes d'animaux ?

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[HRPG : Un grand pardon pour le minuscule et minable texte que j'ai fais mais j'ai vraiment un manque d'inspiration à cause de mon manque de temps du net =( ]

[Oh, n'exagère pas, ton texte était très bien, en tout cas il m'a inspiré =) Et puis, tu sais, l'important, c'est de jouer... même si tu ne faisais que cinq lignes, ça me serait égal ^^]

Les renardises de Roxane... un terme dont ces animaux se servaient souvent pour parler de leurs ruses... semblaient marcher à merveille sur le Chapelier Fou. Heureusement que l'ordinateur qui lui avait donné son intelligence possédait des programmes sur à peu près tout, même sur l'importance et les différentes manières de la politesse chez les humains... surement un programme téléchargé par quelque gratte-papier qui voulait avoir un peu plus de succès après des femelles de son espèce. En tout les cas, Jervis s'était installé près d'elle et la traité comme une égale, et tant qu'elle continuerait à jouer la comédie, la jeune renarde pensait qu'elle avait de grandes chances de rester en vie... et en plus, elle pouvait en profiter pour se remplir l'estomac.

L'humain lui fit apporter de petites friandises qu'il appelait cookies et galettes de beurre, de la nourriture humaine sucrée. Lorsque l'homme habillé en chat lui déposa une assiette devant elle et lui mit autour du cou une serviette, près de sa tasse de thé, elle eut du mal à rester calme. Le morceau de tissus l'étranglait, elle aurait sérieusement préférée ne pas être forcée de le porter... elle n'aimait pas avoir quelque-chose d'autre que sa fourrure sur elle... mais elle sut qu'elle devrait s'en accommoder et tourna alors son attention vers la nourriture. Elle fit cependant en sorte de faire des mouvements lents, pour ne pas passer pour la gloutonne que cette grosse gourmande était dans la réalité. Elle se dressa sur ses membres postérieurs et posa ses pattes-avants sur la tables pour garder un certain équilibre... elle était forcée de se mettre dans cette position si elle voulait être à la bonne hauteur... et commença en prenant une grosse bouché des gâteaux ronds, couverts de pépites de chocolats, qui s’émietta très facilement dans sa gueule. Elle aurait préférée de la viande crue, comme tous les prédateurs, mais elle ne crachait pas non-plus là-dessus... à grandir dans la rue, contrairement à ces pourris-gâtés d'animaux domestiques qui refusaient parfois de manger ce qu'on leur donnait parce qu'ils préféraient autre-chose, elle avait apprit que toute nourriture était une bénédiction, surtout quand elle était obtenue aussi facilement. A l'état sauvage, si tu avait des goûts de luxe, il était impossible que tu survives.

Roxane gardait un oeil sur les fais et gestes de monsieur Tetch, quand-même, afin de s'assurer qu'il n'était pas en train de changer d'avis et qu'il ne veuille pas l'attaquer. Finalement, ce n'était pas si mal, ici, surtout de par le fait qu'il y avait de la nourriture gratuite... la renarde avait souvent songé à tenter de se faire acceptée comme un animal domestique. Ça lui faciliterait grandement la vie, même si elle tenait quand-même à garder un minimum de liberté... mais hélas, elle n'était pas sûre que tenter l'expérience avec le Chapelier Fou serait une bonne idée pour elle. En le voyant trancher la gorge de son acolyte, elle avait compris qu'il était du genre à prendre la décision de tuer sur un coup de tête, et que ses réactions étaient violentes et imprévisibles... son instinct de survie lui disait que c'était beaucoup trop dangereux.

Jervis était en train de boire une gorgée de son thé, et sachant qu'il serait mal vu qu'elle refuse sa propre tasse, elle détourna à contre-coeur son museau du tas de gâteau et voulut prendre trois lapée de son propre liquide sombre aux odeurs de plantes... mais lorsque sa langue toucha la surface, elle recula brusquement en poussant un petit couinement. Elle se tourna vers le Chapelier, prit un air gêné en riant un peu et lui expliqua :

Hi hi, c'est chaud...

avant de souffler un peu sur la boisson fumante.

C'est à ce moment-là que Tetch se décida à lui parler de ce qui l'intéressait vraiment, chez-elle, et que Roxane comprit : il voulait qu'elle lui parle des produits chimiques qui l'avaient fais mutés, et il voulait aussi savoir si cela marcherait sur d'autres animaux. Alors c'était ça, qu'il voulait : faire subir à d'autres petites bêtes le même sort qu'à elle. Le cerveau de la renarde se mit à fonctionner à cent à l'heure... il était vrai que les humains, elle n'en avait rien à faire, mais ce qu'il advenait du monde animal de Gotham avait tout de même une certaine importance à ses yeux, enfin, plus chez les autres renards que chez d'autres... simple instinct de préservation de l'espèce. Mais quoi qu'il arrive, de toute façon, elle ne pouvait pas aider le Chapelier là-dessus...

Roxane ne savait pas quels produits l'avaient fait mutés, et elle ne savait même pas si elle serait capable de les reconnaître si elle les voyait. Le jour de son accident, elle se souvenait seulement d'une pluie multicolore et d'un feu d'artifices d'étincelles électriques... la renarde se tourna vers Jervis, donnant à son regard une lueur d'excuse... elle allait lui dire la vérité, car elle savait que le blondinet avait un esprit brillant qui risqué de détecter les mensonges, cependant elle espérait que cela n'allait pas lui nuire...

Hélas, cher Chapelier, je ne peux pas vraiment vous aider là-dessus, parce que je l'ignore. En fait, c'est un très étrange concours des circonstances qui m'as mené jusqu'à mon accident. Lorsque je fouillais cette poubelle, j'ai été repérée par un gardien qui a voulu m'attraper, et c'est en essayant de m'enfuir que les produits chimiques me sont tombés sur la tête, toute une étagère qui s'est décrochée quand j'ai voulu montée dessus, une bonne dizaine de flacons différents, qui ont formés un mélange qui à fait de moi ce que je suis aujourd'hui... je pourrais peut-être vous dire où ils se trouvent, mais je ne pourrais pas vous montrer ce mélange. D'ailleurs, je ne sais même pas si d'autres animaux seraient capables de survivre au contact de tellement de produits chimiques différents... j'ai moi-même eue de la chance et je ne sais pas comment j'ai fait pour m'en sortir.

Temps que cela ne lui permettait pas gagner un peu plus de temps, elle préféra éviter de lui parler du choc électrique de l'ordinateur qui lui a donné son intelligence... grâce à ça, son savoir été quasiment universel, et elle savait des choses qui auraient pus intéressées les plus grands des criminels, comme par exemple l'identité secrète de Batman... si jamais les choses dégénéraient, elle préférait garder cette as dans sa manche afin de négocier sa vie.

La jeune Roxane agréer une manière réfléchissante. Elle avait cette façon de calculer les dis de son interlocuteur comme un brin d'une machine. Par contre sens, le Chapelier n'avait pas de doute là-dessus. Il était autant captivé par la réponse de la bête rousse qu'il n'avait pas l'éthique au regard. Mais Jervis interrompit son sourire distrait, le regard courber à ses genoux à l'écoute de la réponse stérile de la renarde. Il est vrai que c'est parfois assez difficile de savoir quel mélange l'avait rendu si différente des autres animaux. On pourrait même dire, << si supérieur >>. Quel corniaud, quelle absurdité... Mais le temps n'était pas perdu. Elle avait pourtant affirmé qu'elle mènerai le plan de la direction des produits chimiques. Même si cela serait alambiqué, il serait possible d'opérer des recherches selon plusieurs de ces flacons dont l'Animal assista au renversement de ces mélanges. Jervis ferma ses yeux, posant son index sur son front, comme s'il allait songer à deux choses. C'est exact, il avait deux choix... L'un correspondait à la fabrication d'un collier très simple au nom de Roxane en guise de cadeau pour le remerciement de ses conseils mais, que finalement, ce cadeau n'est rien d'autre l'un de ses babioles électromagnétiques identiques à ses cartes inoubliables par ses cobayes. L'autre solution ? On verra ça dans quelques semaines. Jervis fit signe au Chat de s'approcher vers lui, celui-ci s'avança vers son patron en se penchant à sa taille.

• Va me chercher des fils attractifs dans les docks et rapporte les moi. Mais chut soit discret.

Chuchota-t-il à son sbire.

C'était vraiment incroyable que Tetch trouva facilement des plans de secours aussi rapidement. Quelle mélancolie, c'était trop magnifique cette belle soirée. Une délicieuse renarde pourrait très bien servir comme objet décoratif pour le Wonderland. Une fois que le chat s'exécuta de la pièce, Jervis, sans que la Renarde remarqua le bouillonnement de l'ambiance, l'homme au chapeau lui lança un sourire narquois, extrêmement goguenard en accompagnant une phrase d'un état << Encore plus de thé ? >>. Par enchaînement naturel ou logique, ce genre de type étrange n'était pas aussi un être très sérieux. Il affiche un comportement élémentaire et facile mais, au fond de lui se cache un grand phénix. Les aiguilles de l'horloge tournèrent, tournèrent et tournèrent... Oh que diable, que le temps se précipite un peu trop au goût de tous. << Quel miséricorde nous entour >>. Que c'est dommage, la fin du Tea-Time est dorénavant temporel snif... Oh mais, on y pense, il n'y a pas d'heure finale pour Jervis, leur Tea-Time pourrait très bien être à longue durée définitivement, intouchable à la ligne d'arriver. Puisque, si la renarde partira d'aussitôt, elle ne reviendra sûrement plus d'après ses petits soupçons. Oh oh, quel maligne cette petite ! Une fois que le Chat arriva discrètement sans que Roxane lui remarque, il se dirigea vers la deuxième porte de derrière, farder par des feuilles de lianes. Tetch toussota très faussement pour ne pas faire entendre les pas de son complice.

• Voyons voir, je comprends que tu ne sais point les mélanges des différents flacons des produits chimiques mais, ne t'en fais pas ma chère, de toute façon cela ne sert à rien de chercher plus loin. Ne te donne pas ce courage pour nous conduire vers le lieu de ton incident, je ne saurais lesquels sont les alliages.

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[HRPG : Désolé de ce petit retard ]

[Vraiment désolée d'avoir pris plus de temps que ce que j'avais prévue pour te répondre. Et si tu fais une pose dans les rp's, n'hésite pas à prendre tout le temps qu'il te faut pour répondre, je ne suis pas pressée Wink

]

La tête du Chapelier Fou s'était baissée vers ses genoux en entendant la réponse de la renarde, et elle sentit de la déception en lui lorsque son sourire s'effaça quelques peu. Durant un moment, Roxane craignit d'en avoir trop dit, et ses yeux louchèrent à nouveau vers le manche du couteau dans la poche de l'humain... il faudrait qu'elle soit rapide, si par malheur il décidait de s'en servir. Son corps serait sans doute assez mince pour lui permettre de passer entre les les barreaux de grille qui fermaient le petit monde imaginaire de Jervis... elle n'avait jamais était aussi contente d'avoir passée plusieurs jours sans rien manger... mais est-ce qu'elle serait assez vive ? Derrière-elle se tenait toujours l'homme habillé en chat, si il réussissait à la rattraper avant qu'elle ne sorte du parc d'attraction, s'en était finit d'elle. Elle était rusée, mais là elle devait avouer qu'elle avait beaucoup de mal à mettre au point un plan d'évasion qui ne risquait pas de la faire finir en manteau de fourrure.

Pour tenter de mettre un terme à son regard inquiet et à son malaise qui devait être palpable, Roxane plongea à nouveau son museau dans le liquide bouillant de sa tasse de thé et fit semblant de boire, tout en gardant un coin de son oeil ambré sur les fais et geste du Chapelier qui semblait réfléchir à ce qu'elle venait de lui annoncer... il discuta un petit moment à voie basse avec son homme-chat au sourire effrayant, et celui-ci sortit de son champ de vision sans qu'elle puisse voire où il allait, trop occupée qu'elle était à surveiller son hôte. L'ouïe fine de la petite créature lui permit de comprendre que le chef avait demandé à son homme d'aller lui chercher quelque-chose, mais elle ne put en entendre plus. Finalement, monsieur Tetch lui souria... ouf, il ne semblait pas lui en vouloir autant qu'elle l'avait craint... et lui proposa un peu plus de thé.

La renarde observa un moment le liquide sombre qui faisait maintenant des vaguelettes dans sa tasse après qu'elle en ait retiré son nez... elle n'en avait bue que la moitié. Elle savait qu'il serait mal-vu de sa part de refuser la proposition, mais à quoi servirait-il qu'elle dise oui, vu qu'elle n'avait pas finit ? Mais peut-être qu'il fallait qu'elle accepte qu'il en remette... malgré son savoir au niveau politesse, elle ne savait rien sur les histoires "d'heure du thé"... finalement, elle opta pour cette réponse-là :

Je n'ai pas encore finit la première tasse, j'aime bien prendre mon temps pour mieux apprécié l'arôme de votre thé. Mais c'est gentil de votre part, j'en reprendrais surement une tasse lorsque j'aurais finit celle-ci.

Elle prit à nouveau trois lapé de thé... les renards buvaient beaucoup plus lentement que les humains, avec leurs coups de langue... puis se tourna à nouveau vers les gâteaux. Jervis lui dit qu'il n'était pas utile pour elle de lui montrer l'endroit où elle avait eue son accident... c'était dommage, car si ici elle n'avait très peu de chance de s'enfuir, dans les rues, elle aurait très facilement pue leur fausser compagnie. Une idée lui traversa la tête : elle pouvait peut-être faire en sorte que ce soit l'homme qui la laisse partir... tout ce qu'elle avait à faire, c'était entrée dans la logique du Pays des Merveilles, où les renards ne semblaient pas avoir leur place. Mais c'était dangereux, et elle le savait : soit le Chapelier pouvait décider de la laisser partir, soit il pouvait décider de l'éliminer...

Mais elle n'avait pas le choix... plus le temps passé, et plus elle sentait sa peur grandir. Si elle ne trouvait pas rapidement un moyen de s'échapper, elle savait qu'elle allait finir par commettre une erreur qui pourrait lui être fatale. Alors elle se redressa, observa son hôte et lui dit d'un ton qu'elle voulut rendre neutre, un ton innocent de conversation, comme si elle lui disait que la nuit était belle :

Je suis heureuse de pouvoir partager ce moment avec vous, cher Chapelier. Quel dommage, cependant, que cela se passe dans votre magnifique royaume. Je crains que les membres de mon espèce n'aient pas vraiment leur place au Pays des Merveilles...

elle s'approcha un peu de Jervis et lui chuchota :

les lapins sont nos proies et les chats nos ennemis naturels... bien-sûr, dans un monde de paix comme le votre, jamais il ne me viendrait à l'idée d'attaquer quelqu'un, mais je craint que ma présence ne mette mal à l'aise vos amis...

Roxane savait que sa tentative était osée, mais elle ne voyait pas d'autre moyen pour partir d'ici. Elle tenta de garder un air calme, mais son coeur battait si fort qu'elle crut pendant un moment avoir une crise cardiaque, par peur de la réaction de Tetch... elle était tellement concentrée sur lui qu'elle ne remarqua même pas le chat qui venait de revenir...

La renarde n'avait pas encore terminé sa première tasse, elle lui ajoutait qu'elle aimait bien prendre son temps pour savourer l'arôme du thé. Quelle délicieuse enfant, elle avait du goût. Le Chapelier Fou continuait de lui sourire. Il était régulier qu'un hôte de sa table appréciait la saveur, les différents parfums de ses collations. Il voyait cette aimable jeune rousse prendre trois lapés de sa majestueuse boisson réchauffante. Le temps se pressa et se pressa. Soudain, la petite bestiole se redressa et observa le blondinet face à elle.

• Je suis heureuse de pouvoir partager ce moment avec vous, cher Chapelier. Quel dommage, cependant, que cela se passe dans votre magnifique royaume. Je crains que les membres de mon espèce n'aient pas vraiment leur place au Pays des Merveilles...

Et bien ! Quelle surprise ! Mais qu'est ce qu'elle raconte ? Le rêve c'était tout ce que le monde aurait envi de jouir. Au contraire, son espèce était un des plus beaux du monde imaginaire. Tout ce que cette renarde détaillait était aussi déséquilibré. Jervis était un peu déçu de savoir qu'elle ne voulait pas rester auprès de lui. Elle pourrait bien lui apporter de la compagnie et un animal parlant c'était aussi flamboyant. Beaucoup d'enfants rêvaient d'en avoir ces créatures emplies de désirs et d'ambitions. Quand la jeune mammifère s'approcha un peu de Tetch en lui chuchotant le reste de sa phrase, le petit homme resta incolore. Il jeta son regard auprès de sa tasse déboussoler.

• Je vois.... Tu es bien sûre de toi ? Tu n'as jamais voulu rester dans un point aussi prodigieux ? Tu n'as jamais voulu être dans un monde féerique ? Et même, qu'elles sont tes désirs ? Moi, le maître des rêves, je pourrais réaliser tout ce que tu veux tu sais !

Il y avait parfois des gens qui ne comprenaient pas ce qu'était un rêve dans cette ville de fou. pourquoi, pourquoi ? Gotham-city, une ville de malheur, une ville assez complexe n'avait jamais accepté les démarches du Chapelier. Pourtant, cette ville avait besoin des touches plus surnaturel. Elle était tellement intensément gothique, laide et humant même des odeurs pestilentiels. Quelle horreur !

• Je suis déçu... Très déçu même ! Pourquoi le réel est si compliquer ?

Il releva ses yeux fixer sur l'animal

Si tu n'aimes pas mon monde, petite, je connais une personne avec qui, tu te sentiras plus à l'aise.

Et oui, il avait même remarqué le mal à l'aise de la jeune renarde depuis un bon bout de temps. Et qui était donc cette personne dont le Mad Hatter causait ? Une vielle connaissance. Son meilleur allié d'Arkham. Le dénommé << Docteur crane >>. Un équipier qui montrait l'opposer du rêve. Bien sûr, c'était donc pour ça que le blond et Jonathan s'appréciaient pendant qu'ils étaient encore détenus. Ils formaient comme tel << le désir et la peur >> ce qui aliénait << Le rêve et le cauchemar >>, dramatique non ? Tetch sortit un morceau de papier et un stylo. Il nota une adresse, ce qui ne manquait pas une période perdue. Il releva le morceau de papier en le tendant au côté de la jeune bête avec un sourire abracadabrant.

• Tu dis que tu mettras mes amis mal à l'aise, je comprends très bien. Tu vois ce bout de papier ? Prends-le. Ceci est l'adresse d'une localité où tu pourras te réfugier à ton goût. Ne t'inquiète pas, le proprio va assurément accepter ta compagne. Je le souhaite bien parce que, ça manque d'animaux domestiques dans son logement !

Disais-t-il en ricanant.

Le plan de Jervis changea en un claquement de doigt. Il n'avait pas l'intention de capturer de suite cette innocente animal non non... En confiant cette boule de poil à son collègue du crime, il serait sûr et certain qu'il gardera à l’œil cette très chère Roxane. Un jour viendra, où celle-ci va lui appartenir.

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[HRPG : j'ai quand-même répondu xD Désolé c'était plus fort que moi ^^ ]